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 Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu

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Arlequin CirquenfeuCivil

Arlequin Cirquenfeu


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MessageSujet: Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu   Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu EmptyVen 3 Déc 2021 - 23:45

Arlequin Cirquenfeu


"Claquettes-chaussettes sans casquette"


Origine de l'avatar : Arlequin, OC.


Présentation générale


Âge : 34 ans


Taille : 1m63


Région d'origine : Îles Sevii


Groupe principal

Éleveur

Groupe secondaire

Civil



Équipe pokémon




Barry Benson


Niveau 43
  • Double-Dard

  • Pics Toxiks

  • Direct Toxik

  • Picpic


Talent : Essaim


"Ya like jazz ?"
[Voit la puissance de ses capacités type insecte augmenter de 50% lorsque ses PV sont inférieurs à un tiers de ses PV maximaux.]








Ratatouille


Niveau 21
  • Charge

  • Vive-Attaque

  • Croc de Mort

  • Mimi-Queue


Talent : Cran


Malgré son surnom, non, ce n'est pas de la ratatouille et c'est un très mauvais jeu de mots.
[Voit sa statistique d'attaque augmenter de 50% s'il a une altération principale de son statut (sauf "confusion".]





Présentation physique


Je suis la plus belle fille du bal !



Arlequin est un trentenaire de petite taille, très fin, à la peau légèrement mate. Pour son mètre soixante-trois il pèse soixante-huit kilogrammes, et malgré son apparence qui pourrait faire penser à un gremlin, Arlequin possède quelques muscles qui lui sont très utiles. En général il se tient droit, surtout quand il est en présence d’inconnus ou de connaissances récentes, mais la légende raconte que plus vous le connaissez, plus il est avachi. Quand il est assis à son bureau, même une crevette n’est pas aussi courbée, tellement que ça donnerait mal rien que de le voir. Il est rarement vu sans sa tasse de café (qui contient souvent plus de whisky que de café, d’ailleurs) et est toujours accompagné de ses claquettes-chaussettes. Beaucoup suspectent que son placard n’est constitué que de blouses blanches, débardeurs jaunes ainsi que des shorts, chemises et chaussettes bi-colores toutes violettes et vertes. En même temps, il semble rarement changer d’habits.

Si on met de côté ses goûts vestimentaires, le jeune adulte porte souvent des “collants” couleur chair ou noire, afin de recouvrir ses tatouages. Sur son bras gauche : Un cercle contenant une forme abstraite au niveau de son épaule, une couronne faisant tout le tour du biceps et la même sur son avant-bras, mais un peu plus stylisé. Sur sa jambe gauche : le même cercle contenant une forme abstraite à l’endroit de son genou, deux bracelets épais à mi-cuisse et mi-tibias, et ceux-ci sont reliés au genoux par trois lignes sur la cuisse et une seule sur le tibia. Excepté ces tatouages, il n’a rien d’autre sur sa peau.

Retournons à sa petite tête. Ses cheveux sont gris (tirant vers un bleu métallique) et courts, légèrement ondulés et même très doux. Ses yeux sont en général mi-clos et vairons : pourpre et vert. Malgré son manque de sommeil et son addiction au café alcoolisé, il n’a aucune marque de fatigue sous ses yeux. Il porte aussi des petites lunettes dorées rectangulaires sur son nez, et un petit sourire malin qu’on aimerait bien lui retirer. Hop on descend on descend, et oh mon dieu… que vois-je ?

Des claquettes. Et des chaussettes. De belles claquettes noires avec ses chaussettes dépareillées violettes et vertes. Et pendant que vous êtes en train de vous offusquer sur ce mélange interdit, Arlequin camoufle rapidement son arme dans une poche intérieure de sa blouse. Un pistolet ?! Oui, mais c’est un pistolet qui tire des flèches tranquillisantes, et il a toujours des munitions à portée de main, si la situation dérape.



Présentation psychologique


Les feux de l'amour c'est juste une version longue de Twilight.



Quand on entend parler de lui, on ne se dit pas de suite que c’est un petit gaillard au visage doux. On s’imagine d’abord quelqu’un qui ressemble à un stéréotype du fermier : assez fort, bien dodu, qui semble prendre son travail tellement à cœur que ça se voit sur ses mains travailleuses. Après, on pense aussi à un vieux croulant qui peine à entretenir ses locaux, dont la canne menace de se briser tout comme ses vieux os fatigués. Et on assimile vite ces stéréotypes physiques aux stéréotypes mentaux correspondants. Ca, c’est la première impression.

Ensuite on rencontre ce fameux Arlequin, et on se rend compte que c’est un peu des deux. Il est calme, répond d’un air presque désintéressé, il semble se perdre dans ses pensées. Pour peu que vous soyez matinal, vous pouvez même le voir piquer du nez. Comme monsieur est nocturne, il sera plus enclin à discuter avec vous vers la fin de la journée. Du coup, vous vous mettez à vous dire “mais c’est qui ce branleur ?” Et vous avez peut-être raison. Vous ne voyez qu’un glandeur avec son café froid en train de donner à manger à un pokémon, à moitié en train de dormir. Il est lent, il est nonchalant, et en plus il vous regarde avec son sourire de monsieur “je sais tout”. Mais dites-moi, qui êtes vous pour juger ?

Quand les portes se referment, et que les clients sont partis, Arlequin n’a plus l’air d’être le même. Il est sérieux, il travaille, il s’occupe bien des pokémons qu’il héberge. Il est souvent sur son ordinateur à pianoter du nonsens pour l'œil lambda, et franchement.. Il vaut mieux ne pas trop s’y pencher.
Il tient énormément à ses deux pokémons : Dardargnan et Rattata, qu’il surnomme affectueusement Barry Benson et Ratatouille.

Ah et il lui arrive aussi de sortir du nonsens comme le sous-titre de cette catégorie.





Histoire



Arlequin entre dans un cabinet, spacieux, bien rangé, et s’assoit sur une chaise longue face à un homme dans un fauteuil. Le trentenaire croise les jambes et se détend en regardant la personne avec un sourire.

- Alors, monsieur Cirquenfeu, dites-moi pourquoi vous êtes là aujourd’hui.

Arlequin pousse un léger soupir avant de regarder le plafond, puis ferme les yeux.

- Je ne sais pas par quoi commencer, vous savez, j’ai déjà raconté toute ma vie à mon psychiatre. Recommencer à vous en parler, vous mon psychologue, ça peut être un peu long, non ?

- Vous êtes mon seul patient de la journée alors faites-vous plaisir. Où êtes-vous né, Arlequin ?


Il se remet bien dans sa chaise longue avant de puiser dans sa mémoire.

---

Je suis né sur les îles de Sevii, plus précisément à Roc-Séville. Mon père et ma mère sont des éleveurs pokémons depuis bien avant ma naissance, encore aujourd’hui ils ont une petite parcelle qui leur sert pour leur élevage. Dès que j’ai su marcher et parler, j’ai aidé mes parents à l'entretien de ce dernier, et des quelques pokémons qui y vivaient. Il faut dire que j’ai rapidement pris le coup ! D’ailleurs à cette époque on avait déjà des outils informatiques, certes assez précaires, mais ça faisait le boulot. Et j’ai aussi sû m’adapter à cette nouvelle technologie, j’étais le petit informaticien de la maison. Comme je m’y suis beaucoup intéressé aussi, j’ai été celui qui s’occupait de rentrer les données, de vérifier les suivis.

Mais comme tous les jeunes de mon âge, je voulais partir à l’aventure avec mes pokémons, affronter la ligue pokémon, me mesurer à mes camarades. J’ai douze ans quand je décide de partir de la maison. Mon père ne lâche pas une seconde quand je leur apprend la nouvelle, il ne cesse de me répéter que le monde extérieur peut être dangereux, surtout pour un petit de mon âge, que je devrais attendre un peu pour être sûr. J'insiste énormément, je lui fait les yeux doux, alors il prend ma mère à part pour essayer de trouver un terrain d'entente. Une bonne dizaine de minutes passent et mon père revient me voir. En voyant que j'ai très envie de partir découvrir l'île, ils cèdent à deux conditions : que ça ne dure qu'une journée, et que je sois accompagné de deux pokémons. Je suis triste de ne pas pouvoir négocier plus de temps, mais voyant que ça les rend très inquiets de me voir partir comme ça, je me résous à accepter ce marché.

Ma mère m’a donné deux pokémons pour commencer : un Kokiyas et un Racaillou. Je suis content, j’ai hâte. Je me prépare à l’aventure en prenant des potions de soin, de la nourriture, des pokéballs. Mon sac est si lourd que j'ai l'impression de partir pour plusieurs mois, mais ce n'est que pour une journée. D'ailleurs pour éviter que je ne me perde, mes parents me donnent une carte de l'île avec des points importants notés pour me repérer. Ils m'ont fait un itinéraire bien calculé, qui me permet de partir le matin vers dix heures et de rentrer avant le coucher du soleil. En somme, une bonne journée de marche, sans compter les pauses repas et les potentielles pauses pour admirer le paysage. Ils me préviennent aussi de ne pas attendre la fin de la journée s'il se passe quelque chose, et de revenir au plus vite s'il y a un problème. J'acquiesce, je suis heureux comme jamais, et je les remercie d'un baiser sur la joue.

Le matin se lève et c’est l’heure pour moi de partir, alors je fais un dernier bisou à mes parents avant de prendre la route vers les sentiers menant au reste de l’île. Je suis jeune, je suis impatient et surtout je suis naïf. Je marche sur le chemin menant au canyon, des rêves plein la tête, et là je tombe sur un homme. Pas un garçon, mais un homme. Je m'arrête pour le regarder, je ne le reconnaît pas alors il ne doit pas être de l'île, néanmoins ce dernier me propose quelque chose. Un combat pokémon. Je n'en avais pas beaucoup entendu parler, autre que par mes parents et leurs amis, et j'avais assez hâte de faire mon tout premier combat. Je suis naïf, plein d'ambition malgré une légère boule au ventre. J'ai le trac, je stresse. Je balance mes deux pokémons, et lui les siens. Il a un Empiflor et un Voltorbe. Je réfléchis un peu et force mon courage pour entamer ce combat. Je pense que j'aurai dû le regretter, car tout s'est passé si vite.


En très peu de temps, je dirais cinq secondes, mes deux pokémons sont tombés K.O. et je me suis retrouvé seul face à ces deux pokémons et leur dresseur. Je sors mes pokéballs pour les faire rentrer, car j'ai encore une chance de les sauver. Cependant l'homme m'en empêche en envoyant une de ses propres pokéballs, et de s'avancer vers moi. Il est terrifiant, on dirait un ogre, grand, imposant. Mes jambes de gringalet tremblent, j'ai l'impression de ne plus savoir quoi faire de mon corps, mais mon esprit ne me hurle qu'une chose : "Cours." En sanglot je me recule à toute allure alors que l'homme s'avance, il tape fort du pied sur le sol, ce qui me fait pousser un cri d'effroi. Je lui tourne le dos et commence à courir, j'ai mal. J'ai mal au cœur, j’entends les derniers cris de mes pokémons au loin, je me sens mal de les abandonner. J'ai mal à la gorge, j'ai mal aux yeux, j'ai mal aux jambes. Je pense m'être pris le sol plusieurs fois sur la route du retour à cause du poids de mon sac, couvrant mon corps frêle d'égratignures. Je me sens coupable du destin tragique des pokémons que ma mère m’a confié.

En une heure j’arrive chez mes parents, les yeux irrités, le souffle court, les genoux écorchés. Je toque à la porte avec le reste de mes forces, je suis épuisé, j'ai tant pleuré, et je pleure encore. Ma mère se dépêche d'ouvrir la porte, espérant sûrement me voir en bonne santé et juste un peu effrayé de ma si petite journée, mais son visage s'est décomposé. Je m'en souviens. Elle s'est aussi mise à pleurer, elle est très empathique, et m'a retiré mon sac à dos avant de me prendre dans ses bras tremblants. Sentir la chaleur de ma mère me fait du bien, j'ai l'impression d'être légèrement revigoré. Elle me fait rentrer en abandonnant le sac à la porte, et essaie de me faire parler, mais rien ne sort. Je lui montre les deux pokéballs vides qu'elle m'a prêté, et je pense qu'à ce moment beaucoup de choses ont fusé dans sa tête. Moi à ce moment-là je ne comprends rien, je me sens vide. Elle me prend doucement par la main, me confiant d'aller dans ma chambre et que mon père allait venir panser mes blessures, qu'elle a quelque chose à faire. Elle part, peu après mon père vient, rapidement mis au courant, et s’attelle à me rassurer et à me soigner.

J'ai pu rester un peu seul quelques minutes pour me reprendre, un verre d'eau tiède à la main pour me réhydrater de mon marathon. Je suis resté là à regarder le vide sans voir l'heure passer, et du coin de l’œil j'aperçois ma mère revenir auprès de deux hommes. Je lève la tête. C'est la police. Ma mère m'explique qu'ils ont quelques questions à me poser, je hoche la tête, mais toujours aucun son ne sort de ma bouche. Ces très gentils hommes tentent de me rassurer, qu'ils vont tout faire pour découvrir ce qu'il s'est passé, mais qu'ils vont devoir me parler à moi, seul. Je ne sais pas si leur technique a fonctionné, mais j'ai accepté de m'ouvrir à eux, à petits mots. Je leur raconte ma journée entre deux hoquets, et quand vient le moment de parler du combat pokémon les larmes refont surface. Je réussi à leur avouer ce qu'il s'est passé, non sans mal. Je leurs décrit, avec mes mots d'enfant, à quoi ressemble l'homme : grand, fort, tête épaisse, cheveux bruns, une moustache. J'essaie de me rappeler des détails, comme demandé par les policiers, je rajoute tout ce que je peux dire. Je leur précise à peu près la zone où s'était passé l'incident grâce à la carte que ma mère m'avait donné, afin qu'ils aillent enquêter. Après quelques échanges, la police me rend à ma mère en lui avouant qu'ils allaient devoir faire des recherches, mais qu'ils allaient tout faire pour coincer cette mauvaise personne.

Une fois les policiers partis, je retourne dans ma chambre pleurer un bon coup. J'entends ma mère parler avec mon père, ils parlent de l'affaire. Je reste enfouit sous mes draps puis je ferme les yeux. C’est rapidement devenu mon quotidien : rester dans mon lit en journée, soit à dormir soit à faire le deuil de ma vie de dresseur et surtout de mes pokémons, et le soir quand mes parents dormaient j’allais sur l’ordinateur toute la nuit. J’ai sauté beaucoup de repas à cette époque, je mangeais très peu et ça s’est vite remarqué sur mon visage et mon corps. Mes parents ont essayé de me faire reprendre un bon rythme, mais à ce moment je ne vivais que pour améliorer mes compétences sur l’ordinateur. C’était un peu la seule chose qui me restait et qui me faisait me sentir un temps soit peu important. Et c’est sans surprise que ma relation avec mes parents s’est dégradée.
Au même moment, l'affaire se fait entendre sur toute l'île, petite comme elle est, tout se sait très vite. J'entends ma mère parler des réactions des voisins, mon père parle de celles des villageois plus proche du centre du village. Un homme qui agresse un enfant jusqu'à blesser gravement des pokémons, qui n'ont pas pu survivre malheureusement. La police pensait pouvoir bloquer le criminel avant qu'il ne se fasse la malle mais coup de bol pour lui, il a quitté l'île. Elle nous prévient rapidement de leur nouveau procédé : les polices de toutes les îles de Sevii et des régions voisines sont alertées. Par ailleurs, les policiers décidèrent de me parler de mes pokémons, Kokiyas et Racaillou, et comme quoi ils n'avaient pas retrouvé les corps. Je continuais d'espérer qu'ils soient en vie, même si tout semblait perdu.

Alors que je continue de m'améliorer dans l'informatique pour ne plus repenser à ce tragique moment, pendant l'année, je continue d'entendre des nouvelles de l'affaire. Un coup ils pensent avoir attrapé la bonne personne, mais c'était un innocent, et un autre coup il leur échappe sous le nez. Mes parents sont devenu fous à force de savoir que l'homme qui a causé tant de mal à leur fils courait toujours, et en un an l'affaire a stagné. D'un point de vue extérieur on peut penser que la vie a reprit son cours, mais pour les habitants de Roc-Séville c'est toujours une course contre la montre. "Faudra-t-il attendre que le suspect récidive pour pouvoir l'arrêter ?" Est la question sur toutes les lèvres indignées. Moi de mon côté, j'essaie d'oublier tout ça, ça me cause assez de tord comme ça, même si au fond ça me travaille toujours. Dans mon cerveau de jeune adolescent, je veux une revanche, je veux que ce salopard se fasse mettre sous les verrous, ou subisse un sort pire que le miens. Toute cette noirceur qui me rempli est fondée : cet homme m'a fait du mal à moi, ma famille, nos pokémons et aux villageois. Moi je ne pense qu'à renvoyer la balle à cet homme pour qu'il souffre, j'ai l'impression que la police fait exprès de ne pas arrêter cet homme juste pour que ça continue à me faire du mal.
J'avais bien évidemment tord, je pensais que le monde était contre moi, je cherchais une raison à tout. Mais le jour saint arriva, deux mois plus tard. (Au total, quatorze mois après mon incident.)

La police toque à notre porte, c'est moi qui leur ouvre. Mes yeux enfoncés dans mon crâne, les paupières lourdes, la fatigue pesante sous mes globes injectés de sang à cause de mon exposition à l'écran d'ordinateur. Je suis frêle, je suis maigre, je suis lent, impuissant. Et ces deux hommes face à moi ne tiennent pas la même mine grave à laquelle j'ai eu droit à toutes mes précédentes visites : cette fois ils sont lumineux, un sourire léger aux lèvres. Je pense même voir un halo au dessus de leurs têtes. Je vois leurs lèvres bouger, mon cerveau met un temps avant de réaliser la nouvelle. Le criminel est arrêté. Je prend une inspiration saccadée par les larmes qui me viennent, je ne vois pas ma mère derrière moi qui fond en larmes à son tour.
Le temps de nous remettre de nos émotions, les policiers nous précisent la chose : L'homme a été interpelé et placé en détention, son procès aura lieu bientôt, dans la semaine, et nous allons y assister.

Là aussi tout s'est passé assez vite, j'allais revoir mon bourreau une dernière fois, et la police m'a assuré qu'il ne s'en sortira pas. Les faits reprochés à son encontre sont très graves, et donc il risque une peine très lourde. Nous sommes allés au procès, ma gorge nouée, j'ai quand même pu témoigner. Même si c'est un jour de victoire, je me souviens aussi du visage de cet homme que j'ai tant redouté : aucun remord, aucune tristesse, juste du vide et de la haine. Je ne comprends pas, même à ce jour, comment il a pu s'en prendre à un enfant et ses deux pokémons. La justice tranche : l'homme est placé sous les verrous pour un bon moment. Tous les gens qui ont assisté à ce procès ont eu un soupir d'apaisement, j'ai même encore pleuré dans les bras de ma mère.

Nous sommes rentrés du procès et je me dirige vers ma chambre, comme j'ai longtemps eu pour habitude de m'y isoler, c'était un réflexe machinal. Mais cette fois je m'arrête la main sur la poignée de ma porte, je prend une inspiration. Je fais demi tour pour venir m'asseoir près de ma mère, elle pose sa main dans mon dos avec compassion. Depuis ce jour, je me suis attelé à changer ma vie, à ne pas laisser mes démons dicter mon quotidien. J'ai parlé avec ma mère, mon père, on a travaillé sur notre relation parents-enfant et je pense que ça nous a tous fait beaucoup de bien. Malgré l'événement tragique de mes douze ans, on a essayé au mieux d'aller vers l'avant pour ne pas s'arrêter de vivre. J'ai continué à passer du temps sur l'ordinateur, mais de façon plus saine et ponctuelle : quelques heures par jour, dispersées entre les repas et l'aide à la pension de mes parents.

A vingt-et-un ans je me suis dis qu’il était temps que je m’en aille, pour de vrai cette fois. Comme je travaillais un peu avec mes parents, j’avais un peu d’argent de côté, et j’avais envie de venir sur Kantô. Mes parents ne pouvaient pas venir avec moi car leur business était déjà bien implanté sur leur île, mais ça ne me dérangeait pas. Du coup en quelques mois j’ai rassemblé mes affaires et je me suis rendu à Lavanville. Un beau petit patelin tranquille, saupoudré d’un soupçon de surnaturel et de légendes froides, tout ce qui me plaît.

J’ai pu louer une belle petite bâtisse, mes réserves d’argent ont permis de me faire la main à Lavanville, j’ai trouvé des petits boulots pour continuer de vivre. A côté, j'essayais de développer mon propre business d’éleveur. Pendant quatre ans j’ai travaillé, et dès que j’ai pu j’ai ouvert mon propre business. D’ailleurs, c’est à peu près à ce moment que j’ai capturé mes premiers pokémons : Dardargnan et Rattata. Je ne les ai pas capturés à Lavanville, mais pendant un petit voyage jusqu’à Céladopole. Je les ai renommés Barry Benson et Ratatouille. Ils ont été les premiers à gonfler les rangs de mon élevage, même s’ils restent mes meilleurs amis avant tout.
Mon business marchait plutôt bien, mais il a fallu que l’année noire se pointe. je ne m’y attendais pas, en fait, je pense que personne ne s’y attendait vraiment. Comme toutes les entreprises, petites boutiques et j’en passe, j’ai aussi souffert de cette année. Au niveau économique ce fut catastrophique, et j’étais bien content d’avoir mis de côté pour ne pas faire faillite. Je ne suis pas tout blanc non plus, sauf ma blouse, parce qu’on va dire que j’ai trempé les pieds dans une eau dont j’aurais du me tenir loin.

J'en suis pas très fier mais j'ai aussi acheté beaucoup de drogues à ce moment-là -pas pour les pokémons hein- pour aider à mes insomnies constantes et mes besoins en énergie quotidiens ! -Il doit sûrement me rester assez pour cette semaine d'ailleurs... oups je m'égare- J’ai essayé de ne pas trop y traîner quand même… C’est aussi là-bas que j’ai rencontré mon psychiatre ! Très gentil monsieur. C’est grâce à lui que j’ai aussi bien tenu, mieux que je le pensais. Il n'y a pas trempé très longtemps, il a découvert que la vie d'hors-la-loi n'était pas sa vie, mais de temps en temps si j'en ai besoin il peut bien me dépanner d'une boîte.~ J'ai fini par arrêter aussi une fois que j'ai trouvé mon psy.

Il y a une société qui a su tirer son épingle du jeu aussi, La Sylphe. Je suis très admiratif de ce qu’ils ont réussi à faire, redresser l’économie entière ce n’est pas rien ! Après je préfère m’en tenir un peu loin, mais comme tout le monde je ne peux pas trop me passer de ces nouvelles technologies. Je dois quand même bien les remercier, à leur façon ils m’ont aidé à retrouver des clients et à faire rentrer de l’argent dans mon compte bancaire.


---

Arlequin rouvre les yeux pour observer le psychologue, ce dernier en train de gribouiller sur sa feuille.

- Et maintenant je suis ici pour vous parler, parce que mon psychiatre m’a conseillé de vous consulter pour discuter et déballer un peu tout ça.

L’homme hoche et remet ses lunettes correctement avant de regarder Arlequin à son tour. Il est étonné de voir à quel point il s'est si facilement livré à lui, encore plus au niveau de ses activités.

- Je vois, monsieur Cirquenfeu. Et bien, vous n’avez pas fini de tout me dire. D’où vous est venu l’idée de faire ce genre d’association ?

Il pointe les belles claquettes-chaussettes du trentenaire avec son stylo, ce à quoi Arlequin lâche un petit rire avant de prendre un air sombre.

- Oh vous savez, il y a des secrets que je ne peux pas dire, même à mon psy.







Qui êtes-vous ?


Surnom : Kyousael


Âge : 22 ans


Expérience en RP : Momie, ça fait bien 3 ans que je n'ai plus RP.


Comment avez-vous entendu parler du forum ? Via Miraculous Quest


Des suggestions ou commentaires sur le forum ? Non, il est très joli comme ça !


Avez vous lu le règlement ? Oui Validé par Venom





Dernière édition par Arlequin Cirquenfeu le Mer 15 Déc 2021 - 21:54, édité 7 fois (Raison : Modification Histoire)
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Super VenomMaître du jeu

Super Venom


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MessageSujet: Re: Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu   Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu EmptyLun 6 Déc 2021 - 20:24
Bonjour Arlequin ! emoticon

Bienvenue parmi nous, on espère que tu vas bien t’amuser chez nous ! C’est moi qui vais m’occuper de ta fiche !

Je vais devoir te donner un peu de travail, car il y a quelques éléments qui devront être modifiés dans ta fiche. Les premières ne sont pas de grande importance : il s’agit du talent de tes deux pokémons qui manque. Le talent (avant appelé capacité spéciale) est une capacité passive qui est liée à chaque pokémon. Dans le cas de ceux que tu as choisi, il faut choisir, pour Dardargnan soit Essaim, soit Sniper, et pour Rattata, soit Fuite, Cran ou Agitation. Tu trouveras toutes les informations à leur sujet sur Poképédia (je t’ai mis les liens).

Au sujet des attaques choisies, tu n’as indiqué que des capacités que les pokémons peuvent apprendre en montant de niveau. Je me permets de te rappeler que tu as droit à une capacité apprise par reproduction ainsi qu’une CT ou une attaque par Donneur de Capacité. Si tu n’en veux pas, aucun soucis. Si tu ne sais pas de quoi il s’agit, nous t’aiderons !

Pour ce qui est des descriptions physiques et psychologiques, je n’ai rien à redire. Tu l’auras compris, ce qu’il va falloir retravailler se situe dans ton histoire. Cela concerne deux points en particulier.

D’abord, le passage de la jeunesse d’Arlequin qui fait une mauvaise rencontre et voit ses pokémons mourir sous ses yeux mérite une certaine révision. Je m’explique.

Roc-Séville n’est dans le contexte du forum pas une île très habitée, ce qui veut dire que dans le passé d’Arlequin, elle l’était encore moins (car l’archipel a entre temps connu un bond démographique).
Que les parents d’Arlequin y travaillent comme gérants de pension ne pose pas de problème. Mais le fait qu’ils n’insistent pas davantage alors que leur fils (de 12 ans !) revient d’aventure sans les pokémons qu’ils lui ont offerts, et visiblement traumatisé, manque de cohérence. La logique aurait voulu qu’ils appellent la police, qu’ils cherchent à comprendre ce que sont devenus le Racaillou et le Kokiyas, qu’ils enquêtent, d’autant que s’ils sont éleveurs, il y a peu de chances qu’ils considèrent la vie des pokémons comme peu importante.

Qui plus est, il est vrai que dans les jeux pokémons, la question de la mort des pokémons est peu, voire jamais soulevée. Dans le contexte du forum, il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’un crime puni par la loi.
Pour cette raison, ce n’est pas à la portée de n’importe qui de donner la mort à un pokémon, qui plus est à ceux détenus par un tout jeune enfant. Il s’agit d’un acte grave qui, sur une île aussi peu habitée que Roc-Séville, aurait nécessairement été découvert par les locaux. Que le responsable soit un étranger ou quelqu’un qui habite sur l’île, dans tous les cas, l’assassinat des deux pokémons aurait été découvert, il y aurait eu une enquête, la police aurait interrogé Arlequin…
En d’autres termes, cela n’aurait pas duré aussi longtemps avant que l’homme soit interpellé, et l’affaire n’aurait que très difficilement pu rester secrète aussi longtemps, aussi bien du côté des parents d’Arlequin que de la vie locale générale de Roc-Séville.

Pour ce passage, il serait donc bon d’entreprendre une certaine révision.
Par exemple, remplacer la mort des pokémons par une blessure très sévère, faisant que lorsque Arlequin rentre chez lui, les parents pensent qu’il est responsable de ce qui est arrivé et lui retirent ses pokémons.
Si tu souhaites conserver le traumatisme tel quel, alors il te faudrait revoir tout le contexte qui l’entoure, notamment le responsable de toute cette affaire qui, dans ton histoire, apparaît comme inutilement cruel. En l’état actuel, il reste difficile toutefois de conserver la mort des pokémons comme un élément marquant seulement pour Arlequin, alors qu’il s’agit d’un événement brutal qui secouerait l’île toute entière ainsi que les parents de ton personnage.

Sache également que le modèle de l’enfant qui se voit confié son ou ses premiers pokémons avant de partir à l’aventure est propre aux jeux, mais aucunement à l’univers pokémon, et donc au forum.
Il est possible que dans sa jeunesse, Arlequin obtienne la possibilité d’aller explorer la partie sauvage de l’île sous la protection de deux pokémons. Toutefois que deux parents envoient leur enfant vers l’inconnu paraît très imprudent, il s’agirait donc plutôt d’une aventure à hauteur d’une journée, plutôt que d’envoyer l’enfant se débrouiller pour explorer le monde. Ce qui se passe dans pokémon Rouge et Bleu peut être justifié autrement, mais peut difficilement être repris aveuglément sans justification contextuelle solide.

Il peut aussi s’agir des parents qui n’aiment pas leur enfant (après tout, pourquoi pas), mais compte tenu de leur description et de leur emploi d’éleveur, là non plus, cela ne semble pas très pertinent.

Voilà donc pour ce premier élément qui mériterait révision. Le traumatisme semble être important pour le personnage d’Arlequin, mais en l’état actuel il manque de cohérence. La mort des pokémons n’est pas quelque chose d’anodin, il faut donc lui fournir un apport contextuel conséquent. La blessure grave est plus en accord avec ce que tu proposes et te demanderait moins de modifications, mais l’effet n’est pas le même. Le choix dépend donc de toi !

Le deuxième élément, cette fois à compléter, est une description plus précise de l’activité illégale d’Arlequin. Pour obtenir le rôle de hors-la-loi nous avons besoin de savoir ce qu’il fait exactement, et à quel niveau. S’il a eu une activité illégale dans son passé mais a arrêté, il convient malgré tout de donner des précisions. Compte tenu du format de ton histoire (discussion avec un psy), il peut être délicat pour Arlequin de dire ce qu’il fait d’illégal, mais il existe toujours des moyens d’être plus clair (pour nous le staff) grâce à des sous-entendus. Et puis, le secret médical est là pour ça !

Voilà pour le premier bilan de la relecture. Pour résumer : corriger et compléter la partie autour de la mort des pokémons pour la rendre cohérente du point de vue contextuel et vis à vis de la réaction des parents, et trouver un moyen de préciser quelle (ou quelles) activité illégale pratique Arlequin.

Bon courage pour ce travail, nous restons à ta disposition pour t’aider si nécessaire ! emoticon
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Arlequin Cirquenfeu


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MessageSujet: Re: Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu   Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu EmptyLun 6 Déc 2021 - 23:01
Hey bonjour !

Du coup j'ai modifié l'histoire, je te fais un rapide topo ici : j'ai pris quelques bouts de tes idées quand même, je précise.

Pour le trauma d'Arlequin : Au lieu de partir à l'aventure en freestyle, ses parents ont réussi à négocier pour qu'il fasse plutôt une petite randonnée avec deux pokémons pour l'aider. Il a un gros sac. Il tombe quand même sur le méchant monsieur (MM) (en voyant qu'il n'était pas de l'île car il ne le reconnait pas), et un duel s'engage. MM blesse gravement les pokémons devant Arlequin et le fait fuir. En s'enfuyant Arlequin entant les bruits d'agonie de ses pokémons. A cause du gros sac il se vautre beaucoup, du coup il rentre tout boboté.
Sa mère le console et tout, et même si Arlequin ne parle pas dû au choc, elle fait vite le lien : pokéballs vides, son fils tout écorché et choqué = pas bon signe. Elle le laisse à son mari pour aller voir la police. La police revient avec elle pour interroger Arlequin, qui se confie. Arlequin se reclut quand même un peu.
La police va ramer pendant 18 mois car MM s'est barré de l'île au bon moment, ce qui donne cette sensation d'injustice aux Roc-Sévillois et à la famille d'Arlequin. Bien sûr toute l'île est au courant très vite et est choquée. Au final la police coince MM, procès et paf, prison.

Pour l'illégalité d'Arlequin : il revend des données (de sa pension et d'autres qu'il arrive à échanger via des services) contre de l'argent et du matos médical, et avec l'argent il améliore sa pension et surtout il s'achète des cachets. Son psy lui donne aussi quelques boîtes (aka lui fait une ordonnance, il les sorts pas de sa poche haha).

Je crois que c'est un peu tout ? Ah et j'ai ajouté Essaim et Cran pour mes petitous.

Voilà ! emoticon
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MessageSujet: Re: Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu   Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu EmptyDim 12 Déc 2021 - 14:36
Bonjour Arlequin ! emoticon

J’espère ne pas t’avoir fait trop attendre. Merci beaucoup pour les modifications apportées, c’est de cette manière bien plus clair ! Il reste peut-être encore la question des pokémons blessés et ce qu’ils sont devenus avant de succomber à leurs blessures qui n’est pas entièrement résolue. Je me dis qu’Arlequin aurait été parfaitement en mesure de dire où ils se trouvent à la police, et qu’une fois rendus là-bas, ils auraient pu ne rien trouver, ou à l’inverse trouver le corps sans vie des pokémons.
Ce serait intéressant de rajouter une phrase à ce sujet là, notamment car si le corps n’a pas été retrouvé, un doute théorique subsiste quant à la fin réelle du Kokiyas et du Racaillou.

Pour la partie hors-la-loi, je n’arrive pas vraiment à concevoir quel genre de données pourrait être vendues de manière illégale. Les questions que je me pose sont : à qui seraient-elles vendues, et pour quel type d’usage par l’acheteur ? Si j’ai bien compris, cela a permis à Arlequin d’acheter de la drogue et du matériel pour sa pension, mais ce dernier élément, il peut le faire en toute légalité avec les revenus de sa pension, non ? Par ailleurs même si l’achat de stupéfiants est illégal je ne sais pas s’il suffit à faire d’Arlequin un hors-la-loi, même secondaire, d’autant que dans ton histoire on comprend qu’il ne le fait presque plus et qu’il ne participe pas à ce commerce.

J’aurais pu valider la fiche en l’état, cela dit je pense que préciser ces deux points et y réfléchir pourrait t’aider dans la construction de ton personnage. Je pense que c’est plus sage de le faire tant que la fiche est modifiable. Une fois fait, je te validerai dans la foulée !

Un dernier petit effort ! Je reste bien entendu à ta disposition ! emoticon
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MessageSujet: Re: Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu   Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu EmptyMer 15 Déc 2021 - 21:57
Coucou !

Du coup j'ai apporté les modifications suivantes : Pour les pokémons d'Arloulou.
"Je leur précise à peu près la zone où s'était passé l'incident grâce à la carte que ma mère m'avait donné, afin qu'ils aillent enquêter." à la fin du paragraphe où il dit tout à la police.

"Par ailleurs, les policiers décidèrent de me parler de mes pokémons, Kokiyas et Racaillou, et comme quoi ils n'avaient pas retrouvé les corps. Je continuais d'espérer qu'ils soient en vie, même si tout semblait perdu." A la fin du paragraphe où la police prévient les polices des autres régions.


Pour sa vie de truand HLL : J'ai décidé de retirer sa vente de données, car j'avais aucune idée j'vais pas te mentir. x) J'ai laissé comme quoi il s'est procuré des cachets, vu qu'il en a besoin quand même, mais qu'il a arrêté par la suite. Du coup j'ai mis en second groupe Civils.
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MessageSujet: Re: Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu   Claquettes-chaussettes supremacy - Arlequin Cirquenfeu EmptyMer 15 Déc 2021 - 22:15
Merci pour ces changements Arlequin ! De cette manière, tout est clair !
En ce qui concerne ton second groupe, j'ai bien noté le changement. Si à l'avenir Arlequin venait à tremper de nouveau dans ses affaires douteuses, rien n'interdit un changement de groupe, de toute manière !

Bravo pour ta fiche et merci pour ta patience !
Bon jeu parmi nous ! emoticon







Fiche validée !







Félicitations, votre fiche a été validée !





Avant de rp, n’oubliez pas d’aller préparer votre journal de bord !



Vous pourrez ensuite partir à la recherche d’un partenaire de rp ou demander une capture.



Si vous ne voulez pas rp tout de suite, pourquoi ne pas renseigner les relations de votre personnage, ou bien lui créer un pokématos ?



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