Mon arrivé a Kanto (FINIT)

Il était 8h35 quand mon réveille sonna, j'avais dormit chez un ami a Joliberges, la ville portuaire. Je m'habilla chaudement avec mes bottes bleues,mon pantalon blanc, mon pull-over à col roulé bleu, et ma veste blanche à capuche à fourrure. Je descendis, la mère de mon ami avait préparé une tarte aux baies pour notre petit déjeuner, elle venait de la sortir du four, l'odeur envahissait mes narines d'une odeur de baies Chocco,Resin et Tronci. Je m'assis à la table côté fenêtre, pour ne pas être triste de quitter ma région natale. Elle me servit un bol de lait tiède, puis elle me coupa une part de tarte encore tiède dans une assiette blanche, me la servit, je mangeais silencieusement. Après le déjeuner, je mit ma ceinture,mon sac et je salua mon ami et sa mère pour l'hospitalité. Je vérifiai une dernière fois si mon Pass-bateau était encore dans mon porte feuille et je partis en direction du port de Joliberges.

Je m’arrêtai au Shop du coin pour prendre à manger pour que mon Absol ai de quoi grignoter pour la croisières, des fruits et une bouteille d'eau suffirons. Arrivé devant le bateau a 9h45, je fus ravi de voir que la publicité a la télévision ne fut pas mensongère, le bateau était de taille moyenne, sur trois étages. Le navire était blanc, les vitres teinté de noir et un petit drapeau jaune flottait dans le vent maritime. Une passerelle en métal faisait le lien entre le port et le navire. Un homme habillé de bleu avec une casquette a visière rouge, m'arrêta dans mon élan pour vérifier si le pass était bon. Heureusement que c'était bon, a un jour près. Puis une hôtesse, me prit mon sac et n'emmena dans la cabine. C'était un petit espace avec un lit, une armoire en bois, une table et une mini salle de bain. Je sorti de ma ceinture, mes 2 Pokeball, j’enfonçai le bouton blanc du milieu, pour faire sortir d'un halo rouge mon Absol et mon Tropius puis on se décida à sortir de la cabine pour prendre l'air. Arrivé sur le pont, je vis un un troupeau de Poissirene et de Poissoroy nager dans la même direction que nous, il y en avait 6, et le mâle alpha était bien entendu le Poissoroy. Après trois heures d'agréable et reposant trajet en bateau de croisière, nous vîmes le port de Carmin sur mer. Je décida de retourner dans ma cabine pour prendre mes affaires et de me préparer pour le débarquement. Nous amarrâmes au port quand soudain, je sentis un énorme poussé de bonne humeur, l'air était frais, pas trop humide mais pas trop sec non plus. Me voila enfin à Carmin sur Mer et il est 13h, destination tant attendu et le commencement de mon périple...

La dernière fois que j’avais vu la mer, c’était quand j’avais une petite dizaine d’année, huit ans exactement, après la mort de ma mère. J’avais donc décidé de rallier Carmin sur Mer afin de la revoir. Je ne pris pas letemps de visiter Safrania, je me hâtais vers la ville portuaire de la région de Kanto. Encore sur la route, je sentais déjà les odeurs du port, de la mer et des embruns qui m’emplissaient l’esprit. J’avais hâte de revoir cette immense étendue d’eau salée, qui m’avait tant émerveillée petite. Lorsque j’arrivaienfin dans Carmin sur mer, un souvenir, tant joyeux que douloureux me revint. Dans ma tête défilèrent les images de mon arrivé à Kanto, par le ferry.

Je pleurais beaucoup ce jour la. Bien que les funérailles de ma mère eurent lieu une semaine après sa mort et que j’eus commencé la traversée deux jours plus tard, le souvenir de celle qui m’avait mise au monde, froide et inerte sur son lit, me hantais toujours. Bien que l’ami de mon père, qui était venu me chercher pour me ramener chez lui, et Ira, ma petite Stalgamin, essayaient deme remonter le moral, le sourire ne me revenait pas. J’avais passé toute la traversé à pleurer sur le lit de ma cabine, serrant contre mon cœur la peluche que m’avait cousue ma mère.

Je l’ai toujours dans mon sac d’ailleurs.

Mais une fois que j’avais vu la mer, que je n’avais pas daigné regarder avant, cette vison m’enchanta. Je n’avais jamais vu autant d’eau.Elle se perdait à perte de vue vers l’horizon et scintillait au soleil. Je n’oublia jamais ce que j’avais vu ce jour la. Cela m’avait quelque peu sorti de ma torpeur.

A présent, je me retrouvais à nouveau devant cette « immense flaque d’eau » comme je l’appelais à l’époque.Et la mer, ses odeurs et ses couleurs me rappelaient le même sentiment de chaleur qui avait empli mon cœur, dix ans auparavant. Je fis sortir Ira et Ivoire, ma petite Tarsal, de leurs pokéballs afin qu’elles aussi puissent profiter de ce spectacle. Elles furent aussi émerveillées que moi la première fois. Surtout Ivoire, qui elle n’avait pas vu la mer avec moi lors de mon arrivée, à cette époque, elle n’était même pas une idée. Ira quand à elle, se tourna vers moi, de peur que la tristesse d’autrefois refasse surface. Mais je tins bon, elle était avec moi et j’avais fait mon deuil.

Nous entamâmes une visite de a ville, chose que je n’avais eu le temps de faire la première fois. Lorsque j’entrepris de visiter le fan-club pokémon, je revins vite sur ma décision. Le président du club était bien trop bavard à mon gout, il m’avait raconté je ne sais combien d’histoires de pokémons sans aucun sens avant que je n’arrive à me soustraire à lui. Après avoir perdu une bonne demi-heure, je visitai les étalages des poissonniers,tous très fourni en poissons de mille couleurs. Cela donnait terriblement faim.Je fini d’ailleurs par acheter un peu de poisson fumé pour Ira qui sautillait tout autour de moi jusqu'à me faire craquer... Ou plutôt jusqu'à ce que je finisse par lui marcher dessus, et que donc, pour me faire pardonner je doive lui en acheter. Il y avait également un petit stand du pâtissier du coin, chez qui je m’acheta une part de brownie, le meilleur que j’ai jamais gouté, que je partageais avec Ivoire. L’un des bateaux attira particulièrement mon attention. Un assez grand paquebot blanc venait de faireson apparition dans le port. Je me dirigeais alors, par curiosité, vers l’embarcadère afin de voir d’où venait ce bateau etqui étaient ses passagers.

Mais ma curiosité l’emporta, et je me mis à courir en direction de la passerelle. Je ne vis donc pas la personne qui se trouvait devant moi ... et lui rentra dedans. Sous l’effet du choc, pour le moins inattendu,je tombai sur les fesses, sur le dur embarcadère de bois, Ira et Ivoire autours de moi. J’entamais alors une phrase d’excuse, envers la personne que j’avais bousculée :

-Excusez moi, commençais-je, je ne vous avais pas ...

Mais les mots se perdirent dans ma gorge lorsque j’eus levé les yeux vers lui. J’avais bousculé un magnifique jeune homme, un peu plusgrand que moi d’une dizaine de centimètres, les cheveux mi-longs, d’un sublime blanc neige qui lui tombaient aux épaules. Il était accompagné d’un Absol magnifique. Aussi magnifique que son propriétaire d’ailleurs ! Je me perdis un instant dans ses yeux rouges, sans doute des lentilles, et son sourire déclencha quelque chose que j’aurais voulu éviter ... Un rougissement de type pivoine de mon visage habituellement pâle ...

*Non mais quel idée d’être aussi beau aussi !*

A peine descendu de la passerelle, et fait quelque pas a Carmin Sur Mer, qu'une jeune fille me bouscula. Le choc la fît tomber sur ses fesses. Le jeune filles était blonde platine, super jolie, plutôt grande pour une fille qui m'a l'air si jeune, elle a de magnifique yeux vert et une peau assez pâle. C'est un peu le genre de fille maladroite et pas sur d'elle du tout. Elle tenait un petit Pokemon que je ne connaissait pas, je sorti mon pokedex:
"STALGAMIN survit en se nourrissant uniquement de neige et d'eau. De vieilles légendes racontent que les maisons visitées par ce POKéMON sont assurées d'être prospères pendant plusieurs générations." Heureusement, il y avais plus peur que de mal. Pendant un cours instant, elle me fixa d'une façon que aucune autre fille me regarda comme sa. Elle s'excusa, se leva, défroissa sa jupe J'avais du mal a me concentrer, et a parler normalement:
-Sa va pas trop bobo au fesses?

Dure journée que celle ci. D'abord j'écrase à moitié Ira, ensuite je percute un charmant jeune homme pour finir par terre, sur ce fichu embarcadère de bois. Dur. Je n'ai donc qu'un seul mot à dire:

- Aieuuuuuuuh !

Le jeune homme que j'avais légèrement percuté me captiva un instant.

*Ouah ! trop beau ! *

Cette pensé m'ayant effleuré l'esprit, mon cerveau rata une connction synaptique, provoquant un instant de ... vide. Comme vous l'aurez compris, je suis restée là, comme une cloche sur le sol, à le regarder en rougissant. Quelques secondes plus tard, je fini enfin par reprendre mes esprits et à arracher mon attention à la contemplation béate de cet inconnu. Je m'adressais alors à moi même:

"Cher corps, votre mission, si vous l'acceptez, sera de vous relever, sans vous casser la figure, retrouver une couleur de teint potable, autrement dit, la pâle couleur habituelle et non pas ce magnifique et chatoyant rouge, puis, vous excuser un minimum correctement, sans bafouiller, merci bien."

A ma grande surprise, je réussi à m'exécuter sans trop de problèmes. Je parvins à me relever, fusillant du regard Ira et Ivoire qui se tordaient de rire un peu plus loin. Forcément, Ivoire ayant la faculté de comprendre ce qui se passe dans la tête des gens dans le moindre détail, avait bien de quoi rire, et le partagea sans vergogne et à mon grand dam avec Ira. Mais pas avec l'absol accompagnant celui que j'avais bousculé, fort heureusement.Je pris un instant pour épousseter et défroisser mes vêtements, histoire d'être un minimum présentable. Le temps que je lève les yeux vers lui, il rengea un objet dans sa poche et me posa une drôle de question:

- Ca va, pas trop bobo aux fesses ?

En réalité, mon cerveau ne buta même pas sur l'étrangeté de la question. Bien au contraire, il avait basculé vers le mode communément nommé : é réactions type des spécimens à double chromosomes X". Pour les non scientifiques, je traduirait cela par le "mode potiche activé". Vous vous en doutez donc bien, je ne lui répondit pas tout de suite et la première chose qui m'effleura le cortex cérébral était complètement débile:

* Il 'ma parlé ? Je réponds quoi ? Merde j'ai même pas compris ce qu'il m'a dit ! Aaaaah nonnnnnn !*

Donc, forcément, le mode cérébral précédement cité étant toujours en cours, je redevins touge pivoine... même pivoine croisée avec une tomate, pour être plus précise. Il fallait que je me calme. Mais c'était plus facile à dire qu'a faire. Devant un beau garçon, je perds mes moyen, et par la même occasion, mon latin. C'est dans ma nature. Heureusement, Ivoire était sortie de son fou rire, et, comprenant ma détresse, m'aida mentalement à me calmer. Plus efficace qu'un psy !

* Ouah la vanne pourrie ...*

Enfin calmée, je parvins à m'adresser au jeune homme:

- Excusez moi... Je ne faisais pas attention...je suis désolée... Ca va ?

Ma voix n'avait que très peu chevroté, mais je n'avais pas réussi à gommer l'intonation stressée de ma voix, qui donnait l'étrange impression que les mots étaient collés les uns aux autres. J'avais dit cela sans réellement y réfléchir. N'ayant pas réellement écouté sa précédente phrase, il fallait bien que je lui réponde quelque chose. Je restais alors là, plantée comme un piquet devant lui à fixer son amgifique regard, dont la couleur d'origine était masquée par des lentilles rouges.

Derrière moi, Ivoire leva les yeux au ciel en se diant que, finalement, j'avais beau être gentille, socialement, c'était pas tout à fait gagner... oh non !

- Excusez moi... Je ne faisais pas attention...je suis désolée... Ça va ?

Je parvint a garder mon calme pour lui dire que tout allez bien:

-Oui oui j'ai l'air d'aller mieux que vos fesses, mais sa vous apprendra a pas regarder devant vous quand vous courez, vers je ne sait ou!!

Absol était allonger devant une plaque d'égout, et regarda a l'interrieur. Je me baissa pour regarder a mon tour par curiosité, et je vit mon Pokedex, sur une toile de Mimigal. Je demanda à la jeune fille l'aide de sont Tarsal, ( qui au passage se moquait encore et toujours de la demoiselle. Le petit Pokemon était petit avec un corps tout blanc, une sorte de casque vert avec des épine crânienne arrondie de couleur rose, il n'avait qu'une petite bouche et deux petits bras sans mains. Il se mit devant la bouche d'égout, se concentra, puis une aura rose apparu autour du Pokemon, et le Pokedex se mit a volé en ma direction. Je l'intercepta en vol, le sorti quand soudain j'aperçus une fissure grande comme mon petit doigts sur l'écran inférieur de mon pokedex.

Un sentiment d'énervement n'emporta, mais en même temps, cette fille était tellement jolie que je pouvait pas la disputer, je me mit a regarder le port, les yeux gonflé de sang, une larme a l'œil... Ce pokedex m'avait était offert par ma mère a mes 16ans.

-Je ne dirai pas que c'est de ta faute, ni rien. Mais la chute a fait cassé mon pokedex. Alors je vais pas y allez par quatre chemins: soit tu me donne le tien, soit tu m'en rachete un, soit tu m'enmene chez le Professer CHEN pour voir ce que je peut faire avec le mien.


En attendant sa réponse, je souleva la partie supérieur de mon Pokedex pour avoir plus d'information sur le Tarsal de la demoiselle:
"Tarsal ressent les émotions des gens grâce à ses cornes. Ce Pokémon se montre rarement, mais il arrive qu'il s'approche d'une personne s'il la sent dans un état d'esprit positif.

Je me sentais très mal à l'aise. J'avais tout de suite compris, lorsqu'il extirpa, avec l'aide de ma petite Ivoire, ce qui semblait être son pokédex d'un plaque d'égout. Je ne pouvais que difficilement rater l'énorme fissure qui parcourait le dit pokédex. D'ou un certains malaise évidemment. Je ne pouvais que me contenter de regarder mes pieds, détaillants mes nouvelles chaussures à talons haut, très joli modèle. Je ne savais pas quoi dire, vu le prix d'un pokédex, il allait m'incendier sans aucun doute. Et j'avais raison:

-Je ne dirai pas que c'est de ta faute, ni rien.Mais la chute a fait cassé mon pokedex. Alors je vais pas y allez parquatre chemins: soit tu me donne le tien, soit tu m'en rachete un, soittu m'enmene chez le Professer CHEN pour voir ce que je peut faire avecle mien.

Cela m'arrangeais qu'il me propose cela. Je n'avais pas a dire grand chose, et je pouvais continuer de regarder mes pieds, toujours aussi gênée. Je pensais donc à aller avec lui a Boug-Palette, rendre une petite visite au professeur Chen. Je l'avais vu, une fois, lorsque j'étais petite, il connaisait bien mes parents, en tant que dresseurs reconvertis en éleveurs, il surveillait leur élevage pour ses recherches. J'aimais beaucoup cet homme à l'époque. J'aimais l'appeller Professeur Sam en ce temps la. J'étais donc assez contente d'avoir une bonne raison d'aller le revoir après toutes ces années. je me décidais donc enfin à relever la tête et à affronter le regard du jeune homme.

Il allait falloir que je passe un coup de fil à Daniel, mon hébergeur, que je ne rentrerais pas, de toutes façon, j'ai toujours assez d'affaires sur moi pour voyager sur de courtes distances. Au pire, il me reste encore assez d'argent pour rester dans un center pokémon sur le chemin. J'étais très contente de voyager. Je n'avais jamais quitté Celadopole avant, à part ce jour la, j'avais trop peur de me lancer dans l'aventure en réalité. Mais aujourd'hui, j'avais une excellente raison de commencer mon voyage. Au passage, peut être que le Professeur se souviendrais de moi ? qui sais ? je l'espérais en tout cas.

J'allais donc accompagner ce jeune homme dont je ne savais rien, à travers ma région d'adoption. Avant de partir je lui demandais:

-Bien, je t'accompagnerais chez le professeur, mon nom c'est Nephi. On y va ?

Un grand sourire au lèvre, sans attendre de réponse, je partis la première sur le chemin d'une nouvelle aventure...


To Be Continued ...

Genji Liotei : 60 lignes
Nephi Valentine : 120 lignes

+5 points chacun pour avoir terminé un RP de 1 page.