Mission n°9 : Mega Faker recrute [Adrian]

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16h30. Pokemon Chanel +. Journal des informations.

- Nous sommes en direct, devant l’imposant bâtiment de Mega Faker, la mondialement connue entreprise de jeux-vidéo. C’est entre les grands murs de cette tour que six chanceux vont pouvoir tester une toute nouvelle expérience dans le domaine vidéo-ludique demain. Qui seront ces élus ? D’où vont-ils venir ? Des habitants du coin, ou bien des aventuriers de lointains pays ? Nul doute que le jeu en vaudra plus qu’une chandelle. Alors soyez tous au rendez-vous et à dans moins de vingt-quatre heures. C’était Chloé Parieuse pour Pokemon-Chanel.

Nous sommes maintenant le fameux jour. Les six élus sont arrivés à des heures différentes, mais tous accueillis par des femmes au look de servantes, plus par demande du boss que pour fêter l’évènement, ou parce que le boss en question est un très lointaine probable cousin d’un autre boss pervers et chauve, mais ça, c’est un mystère. Je dirais même plus, un Mystherbe, mais passons. Une fois la foule de paparazzis derrière vous, vous êtes dans le grand hall, face aux fameuses demoiselles. Après une brève présentation de ce qu’est Mega Faker, elle vous montre le chemin pour vous retrouver dans une pièce avec la fameuse machine de réalité virtuelle. C’est une forme de fauteuil, avec un étrange casque intégrer sur son dossier et qui se rabaisse pour couvrir la tête de la personne assise, activant à ce moment les câbles dans son dos. Dans la salle se trouve un homme en costume, expliquant les détails basiques de la simulation et une infirmière pokemon, prenant en charge vos champions pendant la durée du jeu.

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La société productive de jeux-vidéos GAME FAKER a crée un générateur s'inspirant de la vie réelle. Recommencer l'aventure à la manière virtuelle tente énormément Adrian, qui décide par curiosité de participer au programme...

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Léviator amorce la descente vers les alentours de la ville de Jadielle tandis que son propriétaire se demande comment il a pu se priver d'un pokémon de type vol aussi longtemps. Un sourire aux lèvres, il se penche vers l'avant le temps que la créature monstrueuse mais un peu stupide atterrisse au sol, quelques instants après avoir plongé du ciel vers la terre. Adrian balance ses jambes sur le côté droit de sa nouvelle acquisition semblable à un dragon rouge, se laisse glisser avec lenteur le long de la peau écailleuse pour éviter de se casser la figure. Une fois les pieds sur terre, il renvoie la femelle pokémon dans sa sphère de repos qu'il caresse quelques secondes avec douceur avec de la clipser à sa ceinture aux côtés de ses nouveaux compagnons de voyage et observe les alentours. La route 1 est tout ce qu'il y a de plus banal au monde, sans maisons aux alentours, reliant deux cités ensembles – ici Bourg-Palette et Jadielle. Dans la prénombre, le jeune adolescent observe de nombreux arbres border le chemin comme un préambule à la forêt de Jade ; des hautes herbes ou se cachent probablement des Medhyèna et des Hoot-Hoot sont dispersées à quelques endroits, tandis que des barrières marrons – qui pour une raison qu'il ignorait étaient plus faciles à franchir en venant du nord que du sud - complètent le tableau des lieux. L'être humain d'une quinzaine d'année place sa main droite dans la poche du même côté de son short, faisant rencontrer à ses doigts un bout de papier qu'il tire à la surface avec un sourire. C'est un extrait du journal de la vieille, dans lequel Mega Faker faisait la publicité de sa nouvelle machine de jeux vidéos, un test s'inspirant apparemment de la vie réelle pour lequel six personnes ont été sélectionnées. Lui entre autre, même s'il ne connaît pas les cinq autres personnes choisies – ou du moins ne pense pas les connaître même si ce détail n'a aucune importance puisqu'il ne les verra pas. Sur ce coup il admet avoir eu de la chance qu'un de ses oncles travaillant dans la boîte ai pu lui réserver une place pour le projet, probablement parce qu'il avait aidé à la réalisation du programme. Les yeux observant avec intérêt le paysage de la route 1, Adrian songe avec impatience à la découverte qui va avoir lieu le lendemain et espère que le programme vaudra le coup du déplacement qu'il a fait – quoique que son oncle lui a vanté le travail passé sur la construction et la réalisation du jeu vidéo calqué sur la vie réelle, alors il n'a pas vraiment à s'en faire sur ce point la.. Et il n'a pas vraiment le temps d'y penser non plus parce que le sommeil commence à réellement le saisir pour une fois. Se massant la nuque et inclinant la tête sous le coup de la fatigue, le sbire fait sortir ses cinq compagnons du moment de leurs pokéball et s'allonge sur le sol, Lightning et Sniijen blotties contre son ventre, Léviator collé contre son dos tandis que Kershaw ainsi qu'Ice sont en train de profiter de l'obscurité pour s'amuser.

« Bon allez, on s'réveille. » Il a réussi à placer quelques heures de sommeil dans son emploi du temps. A travers la lueur de l'aube, Adrian se passe une main dans les cheveux pour les coiffer plus ou moins convenablement et dépoussière ses vêtements. Il laisse une heure s'écouler pour que ses compagnons puissent se détendre et s'amuser, gardant néanmoins Kershaw qui ne s'intéresse pas aux jeux que peuvent partager les autres à ses côtés afin que des pokémons sauvages ne l'approchent pas de trop près. Les dizaines de minutes qui s'écoulent par paquet lui permettent également de s'assurer que la société sera bien ouverte quand il se présentera devant les portes. Le temps file assez rapidement, et pendant que ses créatures jouent ensemble le garçon ramasse des baies qu'il leur donnera au moment ou il devra les laisser pour se concentrer sur la machine de jeux, histoire de les amuser pendant qu'il ne s'occupera pas d'eux et les balance dans son sac, au milieu de deux pommes et de quelques paquets de gâteaux. Le temps qu'il s'est donné s'étant écoulé, Adrian siffle ses compgnons de voyage pour les ramener près de lui, puis rappelle trois d'entres eux dans leurs sphères de repos, ne laissant à ses côtés que Sniijen et sa meilleure amie Lightning qui grimpent chacune sur une de ses épaules tombantes et commencent à s'amuser ensemble avec ses cheveux. Il laisse échapper un sourire lassé mais ne fait rien pour les en empêcher. Un sourire aux lèvres, il marche en direction du péage non payant qui séparer la route 1 de Jadielle, ce qui ne prends pas énormément de temps. Une personne en plus de celle au comptoir traîne dans la pièce et Adrian ne s'y attarde pas même s'il salue les deux au passage. Il prends immédiatement le chemin qui mène au bâtiment immense qui se distingue par sa hauteur, à la manière des gratte ciel et qui semble susciter l'admiration de Pikachu et de Vipélierre qui se mettent à parler entre elles. Au bout de plusieurs minutes de marche, le dresseur peut voir les portes d'entrées de la structure se dresser devant lui, les « Pika pika ! » et les « Viii ! » se succédant sans relâche et l'atteignant de plein fouet étant donné que les deux créatures sont positionnées sur ses épaules. Il est probablement le premier des arrivant, ayant préféré venir dans la matinée afin d'éviter les journalistes quitte à attendre à l'intérieur pendant plusieurs heures.. L'idée d'un mouvement de foule mêlant curieux et reporters lui était trop insupportable. Il pousses les portes dans un mouvement sec, atterrissant dans une pièce luxueuse comme peut l'être tout hall d'une société importante, et observe les lieux avec admiration avant de se diriger vers l’accueil au bout de deux ou trois minutes. Une femme habillée en servante est appuyée du côté du comptoir opposé au sien, travaillant sur un ordinateur. Sans se soucier de savoir s'il la dérange ou non, il tapote sur le bureau pour attirer son attention puis prends la paroles avec un sourire d'excuse. « Adrian Weelsher, je viens pour tester le simulateur à réalité intégrée. » Avec politesse malgré le dérangement, elle lui signale qu'elle appelle quelqu'un puis cette chose faite, elle se replonge dans ses activités sur l'ordinateur.

On est venu le chercher au bout d'une vingtaine de minutes, et il marche désormais à travers le labyrinthe de couloirs qui s’étend à travers la société derrière une femme tout aussi vêtue en servant que celle qui gère l’accueil – décidément, ça doit être une sorte de fantasme dans cette boite de travail étant donné que toute les personnes féminines qu'il a vu passé devant lui jusqu'à présent étaient habillées de cette manière. Enfin, ce n'est pas son affaire surtout que sa guide vient de s'arrêter devant une porte et qu'elle l'a ouverte, dévoilant une pièce dans laquelle un fauteuil débordant de câbles électroniques et assorti d'un casque est installé. « Un des candidats est arrivé. Il s'agit d'Adrian Weelsher. » On fait signe à l'adolescent aux cheveux blancs d'approcher et il s'exécute avec rapidité, sans timidité pour une fois. Une infirmière Joëlle probablement empruntée au centre pokémon de Jadielle est présente ; le dresseur lui tends ses pokéballs et son sac avec un sourire, précisant au passage la présence des baies et des gâteaux pour distraire Sniijen et Lightning le temps que durera le test. Pour finir avant de s'installer sur la machine, il désigne la sphère de Léviator parmi les autres afin que Joëlle ne sorte pas la créature monstrueuse et capable de faire exploser la moitié du bâtiment par erreur. S'adossant sur le fauteuil, il jette un dernier coup d'oeil à ses pokémons pour s'assurer qu'il vont bien avant d'avoir la vue bloquée par le casque et les lunettes qui le plongent dans le jeu. Un flash blanc se produit, et il se retrouve projeté en mode miniature dans un monde rempli de pixels. Il était dans une chambre, assez bien réalisée pour être honnête. Une télé à écran plat était posée au sol, avec à sa gauche une bibliothèque et à sa droite une commode ou devaient sans doute être rangés des vêtements. Un tapis de couleur violette avec des traits pourpre était posé au sol, et un lit deux places avec une couette et des draps assortis au tapis en question était impeccablement fait. Il y avait une table basse dans la pièce non loin du lit, et une plante près des escaliers. Une chaise de couleur blanche était posée en face d'un bureau de même coloré, sur lequel trônait un ordinateur portable et une poubelle dans laquelle quelques papiers froissés étaient jetés complétait le tableau. Niveau jeux vidéos - visiblement c'était une mise en abyme, un jeu dans lequel on pouvait s'amuser à d'autres jeux -, on pouvait observer une wii branchée sur la télévision et une 3DS ainsi que trois piles contenant de nombreux jeux étaient posées sur la table basse en bois. Bon, jusque là cela allait plutôt bien, apparemment il était tombé dans une maison avec un décor assez riche et, il devait lui même l'admettre, plutôt bien réalisé pour un jeu. Impatient de découvrir la suite du programme, il plaça ses mains dans les poches de son short et s'apprêta à descendre au premier étage à l'aide des escaliers.

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Bienvenue Adrian, vous voilà dans la ville de départ du jeu Pokemon, Bourg Croquette. En regardant par la fenêtre vous pouvez voir d’autres maisons, mais bien que petit, le village n’est pas entièrement visible d’un si faible point de vue. Néanmoins, il vous est aisé de remarquer l’imposant laboratoire de la célèbre professeur Pokemon Ely Pommier. De là ou vous êtes dans votre chambre, vous pouvez entendre quelques bruits venant de l’étage inférieur, mais surtout une douce odeur de caramel flottant dans l’air. Sans le savoir, votre mère virtuelle est en train de faire quelques pâtisseries, qui vont vous être offertes pour fêter le début de votre grande aventure à travers les diverses régions, à commencer par Riquantonet dans laquelle se trouve Bourg Croquette. Vous vous approcher de l’escalier à cet instant non ? Sans doute intriguée ou attirer par l’odeur gourmande, ou simplement par curiosité de découvrir comment est fait cet univers virtuel. Quoi qu’il en soit, lorsque vous approcher de l’escalier, une petite forme monte les marches deux par deux et passe entre vos jambes, pour se faufiler jusqu’à votre lit et se cache sous votre couverture, suivit de près par un Aquali qui le recherche.

Après ce petit contretemps sous forme d’une petite boule brune et blanche, vous pouvez descendre. En arrivant en bas, vous avez une belle vue sur la cuisine, dont la porte est grande ouverte. Sur votre droite un petit couloir mène à deux portes, celle de gauche étant la chambre de votre mère et l’autre la salle de bain. Sur votre gauche par contre, il n’y a qu’une grande pièce, avec canapé, télévision et autre bibliothèque, ainsi que la porte d’entrée et diverses décorations ci et là., mais ce n’est pas tout. Sont également présents les différentes évolutions d’Evoli appartenant à votre mère. D’ailleurs cette dernière se trouve dans la cuisine, habillée d’une longue robe au dos nue. Dès lors qu’elle vous aperçoit du coin de l’œil, elle se dirige vers vous et attrape par la main pour vous tirer dans la cuisine et vous fait prendre place sur l’une des chaises entourant la table, le tout avec un grand sourire. Sans vous quitter des yeux elle recule de quelques pas, cherchant un grand sac à dos qu’elle trouve rapidement. Vous devriez avoir remarqué sur la table qu’en plus des gourmandises, il y à quelques objets moins comestibles.

Bon comme nous en avons parlés deux jours plus tôt, c’est aujourd’hui que tu vas partir à l’aventure Adrian. Le professeur Pommier t’attend à son laboratoire pour t’offrir ton tout premier pokemon. Ne soit pas trop en retard surtout, mais avant, je voudrais que tu prennes tout ça avec toi. Les gâteaux et sandwich devraient te permettre de tenir quelques jours, mais je t’ai également mis un peu d’argent, deux milles cinq-cents pokedollars devaient être suffisant non ? Tu as aussi cinq pokeballs pour tes premières captures et cinq baies orans et trois total-soin. Le reste je pense que tu n’as pas besoin de moi pour savoir ce que c’est n’est-ce pas ?

Elle vous laisse quelques instants de silence, remplissant votre sac de tout ce qui se trouve sur la table, y ajoutant une carte dans l’une des poches sur le côté droit. Maintenant que tout est prêt, vous pouvez prendre vos affaires et vous rendre jusqu’au laboratoire qui se trouve à une vingtaine de mètres devant votre maison et voir Pommier. Une fois à l’extérieur, à quelques pas de là sur votre droite, une grande fontaine dans laquelle un Zigzaton lave ses baies. De l’autre côté, vous pouvez observer plusieurs maisons et quelques boutiques, dont un supermarché, mais n’étant pas votre objectif premier, vous entrez après plus ou moins quelques minutes dans le laboratoire. Les assistants du Professeur sembles trop plonger dans leurs travail pour vous prêter attention, mais au fond, sur ce qui semble être un petit canapé ne collant pas au reste du laboratoire, se trouve la plus grande chercheuse en pokemon de la région et à ses côtés, une demoiselle – la vingtaine - à qui elle remet une ball et qui passe près de vous après avoir tourné le dos au professeur et libérer de la pokeball un Ramoloss.

C’est maintenant à votre tour de vous retrouver en tête à tête, non pas avec un ange, mais simple Ely Pommier. Gentille comme toujours, le professeur vous tends une boîte à brownies pour que vous puissiez vous servir et se lève pour aller prendre un petit objet sur le bureau derrière, avant de revenir pour reprendre place sur son canapé, fixant son regard dans le vôtre et vous fait un petit clin d’œil amusé, avant de finalement prendre la parole.

Tu es Adrian n’est-ce pas ? Ta mère m’a un peu parlé de toi, J’ai un pokemon qui devrait te plaire et t’être fidèle tout au long de vos périples ; Si bien sûr, tu prends soin de lui. Je t’offre également l’un de mes pokedex, pour que tu puisses enregistrer chacun des pokemons qui croiseront votre route. Fait bien attention quand tu passeras dans les hautes herbes surtout, les pokemons sauvages ne sont pas tous de gentilles créatures ne s’attaquant jamais à quiconque entre sur son territoire, mais tu dois déjà le savoir non ? Enfin passons, je te présente ton premier champion jeune dresseur. Et ce faisant, elle appuie sur la ball pour libérer à vos pieds un Funécire.

Une fois le pokedex en poche et la ball de votre protéger en main, le Professeur vous invite une dernière fois à prendre quelques friandises, pour vous et votre pokemon, avant de vous dire bonne chance. Maintenant que vous avez tout le nécessaire pour partir effectuer votre voyage, il ne vous reste plus qu’une décision à prendre pour ce faire, à savoir choisir entre la sortie nord, ouest, est ou celle au sud du village.

Les détails de Mamie Saphir

Votre pokemon :

Le sexe est au choix.
Level 5 [25/25]
Corps Ardent : Si votre adversaire vous attaque directement, il a 30% de chance d'être brûlé
Flammèche & Onde Follie & Puredpois & Vibrobscur

Vous avez 1 587 points d'expériences.
Les mots utilités dans la mission n'étant bien entendu pas perdus lors du décompte final.
En cas d'utilisation de mots, le faire sous spoiler en fin de message, en indiquant les possibles changements qui en découlent.

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mission game faker

Il pousse avec intérêt et rapidité la porte de sa chambre après avoir bien examiné tout les détails, et se met à observer le couloir avec attention. Une fenêtre est posée tout au bout à sa droite, et il ne peut s'empêcher d'aller jeter un coup d’œil à travers la vitre pour admirer le paysage. De son point de vue, il ne peut pas capter tout les éléments du village dans lequel il se trouve mais parvient quand même à reconnaître une structure imposante parmi les maisons, qui est fort probablement le laboratoire pokémon de la ville. Un sourire aux lèvres, il se décale de la fenêtre et, décidé à parcourir la maison tant que sa mère ne l'a pas encore envoyé dehors pour qu'il commence son aventure, explore les autres pièces de l'étage. Il découvre deux autres chambres, probablement celle de sa mère et une chambre d'amis ainsi qu'une salle de bains dans un décor toujours assez agréablement réalisé. Sur le coup avant de commencer à descendre les escaliers, Adrian se dit qu'il a hâte que la société commercialise ce nouveau produit, du moins si les cinq autres personnes choisies ont également apprécié les sensations et que la machine ne reste pas à l'état de test. Une agréable odeur de caramel flotte dans les airs et le sbire en oublierait presque qu'il est dans un monde irréel pour le moment tant la sensation est bien faite. Un sourire aux lèvres, s'observant en miniature sous toute les coutures – il a des baskets noires et blanche, un short noir avec deux rayures bleus en relief sur le coté et un tee shirt bleu métallique à manches courtes.

Il s'apprête à franchir les escaliers lorsqu'une boule de poile marron avec le tour du cou blanc beige bondit soudainement de nulle part et fonce en passant entre ses jambes dans sa chambre, dont il a oublié de fermer la porte précédemment. Intrigué, il observe une seconde créature, évolution aquatique de celle qui est apparue juste avant, se glisser dans son champ de vision. Sans aucune gêne, Evoli et Aquali ont pris place dans son lit et il les regarde jouer quelques secondes avant de se décider à franchir le pas des escaliers. Il se retrouver dans une sorte de hall, avec à sa droite une porte ouverte sur une autre salle de bains et.. La chambre de sa mère étant donné l'inscription sur la porte ? Ah ben il a du se tromper à l'étage, ce devait être deux chambres d'amis à moins qu'on ne lui ai rajouté des sœurs et frères virtuels dans le jeu – quitter à avoir une famille, autant y aller à fond. Enfin, de toute façons ce détail ne l'intéresse pas le moins du monde, il est surtout pressé de découvrir les endroits extérieurs et les pokémons. Il jette un coup d’œil à gauche malgré tout, remarquant un salon avec une nouvelle télé à écran plat, une bibliothèques et d'autres détails bien organisés, puis fait quelques pas en face de lui. Une femme est présente, le remarquant presque immédiatement dès qu'il entre dans la cuisine et se précipitant pour le prendre par la main. Elle l'installe sur une chaise tandis qu'il la regarde intrigué, ne comprenant pas vraiment le but de cette manœuvre qu'il aurait très bien pu faire tout seul.

« Euuh.. Bonjour, maman ? »

Un air un peu perturbé sur le visage, il observe la jeune femme qui lui sert de lien de parenté virtuel. Elle est vêtue d'une robe qui lui laisse le dos nu, assez agréable à regarder en fait surtout qu'elle a une grosse poi.. Non mais qu'est ce qu'il raconte, c'est sa mère de un, et en plus c'est un jeu. Crispant ses doigts au niveau de ses cuisses et rencontrant l'étoffe douce du short, Adrian écoute avec attention les paroles de sa génitrice pixelisée, dont les yeux d'une couleur métallisée et les cheveux violets donnent un ensemble brillant à son visage. Il hérite donc pour débuter son voyage de sandwiches et de gâteaux, de quelques pokéballs ainsi que d'une liasse de billet, et pour soigner les pokémons capturés de trois total soin et de baies oran. Sa mère ajoute au passage une carte pendant qu'elle range les affaires dans un sac à dos qu'elle a sorti, et le garçon la remercie du regard. Il se hisse vers elle et l'embrasse sur une joue virtuelle avant de quitter la maison avec toute la précipitation dont peuvent faire preuve les jeunes dresseurs. L'aventure commence !

La zone extérieure comporte, en plus des maisons de quelques habitants dont certains se promènent dans les rues, le laboratoire qui n'est pas si loin de sa demeure qu'il l'aurait imaginé et quelque boutiques parmi lesquelles sont dessinés un centre pokémon et un supermarché – détail intéressant, mais dans lequel il n'ira probablement pas faire un tour dans le futur puisque sa mère virtuelle lui a donné tout ce dont il avait besoin pour tenir au moins jusqu'à la prochaine ville. Trainant un peu dans la bourgade pour capter quelques renseignements – notamment son nom et celui de la région imaginée -, il finit pourtant au bout d'une dizaine de minutes à avoir observé tout les détails, y compris un zigzaton en train de soigneusement laver ses baies dans une fontaine, et avoir salué les quelques personnes sur sa route par franchir les portes automatiques du laboratoire pokémon. Celui d'Ely Pommier selon l'inscription sur un panneau de bois devant l'entrée. Il marche à travers la zone scientifique, ignoré par les chercheurs qui sont plongés dans leurs travail mais reconnaît presque immédiatement la personne vers laquelle il doit se rendre : elle est en train de donner une pokéball à une autre futur dresseuse, assez jolie apparemment. Déconcentré, Adrian lâche une phrase dans un souffle, suffisamment bas pour que lui seul puisse l'entendre.

« Eh bah, bonjour la crédibilité du laboratoire... »

C'est que sa rivale vient de sortir son futur compagnon de sa pokéball, compagnon qui se traîne lentement derrière elle en baillant et en remuant la queue, enfin sa queue de pokémon quoi. L'air blasé, le sbire rocket observe le Ramoloss de sa rivale en se demandant de quel excrément de combat il va hériter. Un Magicarpe ? Un insolourdo ? Ou peut être un Coconfort ? Le mystère reste entier. Oui, parce que sur le coup le sbire à sérieusement envie de se barrer du laboratoire en courant et d'aller capturer le premier pokémon venu dans les hautes herbes, qui sera de toute façons trois fois plus puissant et intelligent qu'un Ramoloss. Non, parce que par politesse il s'est quand même avancé vers la professeure qui lui a débité un blabla sur la fidélité des pokémons quand on en prenait soin, toussa toussa. Blabla durant lequel il ne pensait qu'une seule chose, lui balancer à la figure d'abouler le Chrysacier et de la boucler mais qu'il ne fit pas, toujours par notion de savoir-vivre.

Il se demanda quand elle eut libéré son pokémon si elle était sérieuse dans sa tête, et douta fortement sur le coup d'une condition mentale plus ou moins saine. Quel était l'intérêt de passer un Ramoloss à sa rivale, pokémon qui s'était incrusté dans toute les régions possibles comme un espoir de se faire aimer par quelqu'un quelque part, alors qu'elle lui offrait un Funécire qui était une créature extrêmement rare ? Quitte à perdre son temps et sa santé mentale, plutôt que de chercher la logique dans un jeu vidéo il ferait tout aussi bien d'aller demander au boss de la team Rocket ou à un membre du conseil des 4 lui tailler une pipe. Bref, passons. Il adressa un sourire poli à la femme, prenant les friandises qu'elle lui tendait avec quelques mots de remerciements et ramena Funécire dans sa pokéball, impatient de partir à l'aventure. Retourné à l'air libre, Adrian accrocha la sphère bicolore de son compagnon virtuel à sa ceinture et observa les hozirons. Il avait le choix entre quatre chemin, chacun partant du côté d'un point cardinal. Voyons voyons. Il allait tenter d'aller au Nord, on verrait bien ce que ça donnerait.

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Le nord… LE NORD ! Oui au nord ! Le nord c’est tout droit en sortant du laboratoire. Dans les histoires d’aventuriers, les héros ne vont jamais tout droit, alors que c’est toujours la route la plus aisée. Il est donc évident que ce choix d’Adrian est vraiment très bon et devrait promettre des péripéties plus positives, que négatives. Maintenant que vous n’êtes plus entre les murs de chez Pommier, vous prenez la fameuse direction. Sur le petit chemin vers la sortie, vous avez la chance de passer devant une chocolaterie, dont une jeune femme fait de la distribution gratuite et vous voilà avec quelques miniatures de pokemons à croquer, dans le sens gourmand du terme. Après ce petit laps de temps, vous pouvez enfin quitter votre ville natale virtuelle. En route vers l’aventure. En plus il fait grand soleil, c’est parfait pour un pokemon comme celui offert par Ely. Funecire est un pokemon spectre, mais également de type peu et tout le monde le sait, quand le soleil domine son domaine céleste, la chaleur d’une flamme est toujours plus puissante. Quoi qu’il en soit, après une petite heure de marche, vous voilà à une intersection. Le chemin de gauche vous conduira vers le nord-ouest et celui de droite, vers le nord est jeune dresseur.

Comme un peu partout dans Riquantonet, des panneaux vous expliquent ce qui se trouve dans une direction précise. Donc si vous allez vers la gauche, le panneau indique : Mont Fereroche, menant vers la ville portuaire de Limonadville. . On raconte que le Mont bien qu’étant…. Bah un Mont… A en son sein de nombreuses espèces de pokemons et pas uniquement de type sol et roche. Il est également dit que s’y déclare n’est pas compliquer et ne demande rien de spécial, si ce n’est de bonnes chaussures et un peu de patience, car pour le traverser, si l’on marche à bonne vitesse et sans pause, il faut cinq bonne heures, sans compter les éventuels ralentis comme la rencontre d’un pokemon sauvage pas très commode. De l’autre côté se trouve l’arène de la championne Edina, maitresse de Limonadville et du type normal. L’autre chemin vous mènera dans un lieu bien différent. Ce n’est pas une montagne, pas plus que ce n’est une ville avec arène comprise. Il s’agit simplement des plaines de Miaou, dont la particularité est d’avoir des pokemons d’une couleur peu commence, sans être shiney. Alors Adrian ?

Tu voudrais sans doute avoir le temps de réfléchir, mais pendant que tu es tranquillement devant les affiches de bois, tu entends des bruits de pas derrière toi. Trop léger pour être ceux d’un être humain, il s’agit en fait d’un pokemon étrangement vêtu. Sur sa tête se trouve un petit bonnet, et autour de son cou une petite écharpe. Pourtant, vous pouvez être sûr que c’est un pokemon sauvage – et donc potentiellement capturable -. Lui vous regarde avec un petit air de surprise, avant de reprendre sa marche comme si de rien n’est et passe au milieu des deux panneaux, pour arriver à hauteur de quelques branches cassées. Que va faire notre ami dragon – car oui si vous n’avez pas compris, c’est une Coupenotte -, s’empare des branches brisées et utilise ses dents pour les briser en plus petit morceaux, avec lesquels elle se met à jouer, toujours en vous regardant et se relève finalement, lançant un bout de bois à vos pieds, avec un grand air de défi.

Les détails de Mamie Saphir

Votre pokemon :

Level 5 [25/25]
Corps Ardent : Si votre adversaire vous attaque directement, il a 30% de chance d'être brûlé
Flammèche & Onde Follie & Puredpois & Vibrobscur

Votre Adversaire :

Femelle
Level 6 [[24/24]
Rivalité : Augmente l'Attaque du pokémon si l'adversaire est du même sexe
Double Baffe & Griffe & Gros Yeux & Assurance

Vous avez 2 940 points d'expériences.

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Il n'a pas jugé nécessaire de donner un surnom au pokémon reçu, principalement parce qu'il veux pour le moment marquer une différence entre la réalité et le jeux vidéos qu'il est en train de tester. Un sourire aux lèvres, caressant la pokéball de son compagnon virtuel dont la copie est assez fidèle au vrai Funécire même s'il ne l'a observé que quelques secondes, le garçon ayant quitté le laboratoire décide de se mettre en route pour l'aventure sans plus attendre. Il faut dire qu'il est impatient de franchir de nouvelles étapes dans le programme qui lui plaît vraiment, autant au niveau graphique qu'à celui des possibilités qui s'offrent à son lui-virtuel. Il a donc décidé de se diriger vers le Nord, mais avant de sortir de la ville en prenant le chemin droit devant lui, le sbire Rocket y use encore un peu ses baskets de jeu vidéo. Il repasse devant le centre commercial, s'assied un peu sur la construction de la fontaine près de laquelle il a vu précédemment un Zigzaton qui a désormais mis les voiles et profite de la sensation rafraîchissante que l'eau procure tout autour. Après quelques minutes de pause à profiter avec bonheur de l'endroit, Adrian se prépare à repartir quand il remarque à quelques mètres de lui à peine une inscription inscrite à la craie sur un tableau, devant une boulangerie. Elle précise qu'il y a en ce moment une distribution gratuite de friandises en forme de pokémons – intrigué par l'annonce, le jeune garçon entre dans la boutique aux odeurs agréables et ne se gêne pas pour profiter de l'offre du moment même s'il a déjà pas mal de choses dans son sac. Après cette petite mais agréable entracte à son aventure, l'adolescent devenu virtuel est enfin prêt à commencer à découvrir les terres inventées et à découvrir au maximum les idées et le graphisme de l'équipe de Mega Faker.

Il prends donc la direction du Nord, un large sourire aux lèvres, se revoyant mentalement quelques années auparavant dans la réalité à l'époque ou il avait quitté sa famille pour partir sur les routes avec pour seul compagnon une Goupix. Il remarque d'ailleurs que dans la réalité comme dans le jeu, son pokémon de départ possède le type feu et, dans un accès de sympathie causé par cette ressemblance, il sort Funécire de sa pokéball et le regarde avec douceur avant de tapoter son épaule gauche pour l'inviter à venir s'y installer. La chaleur que dégage le pokémon en forme de bougie le gêne un peu pour le moment mais il est certain qu'au bout de quelques temps, il y sera habitué – comme au poison que peuvent dégager Démolosse et Spectrum dans la réalité, tout est question de temps passé avec les pokémons. Marchant droit devant lui pour quitter la ville en prenant la direction du Nord, fidèle à la décision qu'il a prise quelques minutes auparavant, le garçon engage la conversation avec sa créature virtuelle de sexe masculin.

« Je vais t'appeler Blaze, en référence à ton type feu. Ce surnom te plaît ? »
« Funé, Funécire ♪ »

Et bam, une bonne idée lui est apparue du premier coup. Content de voir à la réponse chantonnée de son nouveau compagnon avec lequel il va vivre des aventures virtuelles que le prénom qu'il a choisi lui convient, Adrian marche pendant quelques instants après avoir quitté la ville en songeant qu'un pokémon feu dans son équipe aura au moins l'avantage de pouvoir l'aider à faire cuire de la viande ou des légumes. Faudra qu'il teste dans la réalité une fois qu'il y sera de retour quel goût à le maïs grillé à la flamme d'un Funécire. En attendant, il s'est retrouvé au bout de quelques minutes encore devant des panneaux précisant les diverses directions qu'il pouvait prendre, deux pour le moment. La première mène au mont Féréroche qu'il distingue plus ou moins à travers les hozirons et qui est apparemment une étape nécessaire pour aller à la prochaine cité de la région, baptisée Limonadville. L'autre choix qui s'offre à lui est une plaine qui, indique la description, regorge d'animaux possédant d'étranges couleurs bien qu'il ne s'agisse pas de créatures chromatiques. Se plaçant l'index et le pouce sur le menton dans un mouvement de réflexion, le jeune garçon hésite.. D'un côté il aura peut être la chance de tomber sur une arène, de l'autre l'inscription concernant les pokémons ayant un coloris anormal l'intrigue énormément. Alors qu'il se décide finalement concernant la direction qu'il va prendre, le jeune garçon entends un bruit derrière lui et voit sortir au bout de quelques minutes une créature verte, sorte de dragon miniature mais vêtu d'une écharpe rouge et or et d'un bonnet marron cache-oreilles. Laissant échapper un petit rire devant cette apparition imprévue mais comique, Adrian observe le jeu du Coupenotte avec les branches et le fait qu'il lance un des morceaux de bois à ses pieds avec un air de défi précipite les choses.

« Toi tu vas rejoindre mon équipe, j'adore les types dragons ! Blaze, met toi en position de combat et attaque Vibrobscur ! »

Le pokémon interpellé ouvre la bouche et inspire quelques secondes avant de rejetter dans les airs des ondes d'une couleur foncées qui partent en direction du Coupenotte, lequel ne parvient pas à les esquiver. Profitant du choc provoqué par l'attaque ténèbres, aussi faible de niveau soit elle, Adrian décroche une des cinq sphères bicolores que lui a remis sa mère virtuelle de sa ceinture et la lance sans plus attendre sur la créature de type dragon avec un sourire. L'aventure commence décidément bien, et elle n'en sera que meilleure s'il la pokéball se ferme dans un son significatif et une leur blanche, signifiant que le Coupenotte est fait prisonnier.

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Donc à vos yeux Adrian, quand un jeune pokemon lance à vos pieds un minuscule bout de bois, c’est forcément un geste de provocation à votre encontre ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas simplement dit qu’il voulait jouer ? Après tout, ce n’est pas parce qu’un pokemon casse quelque chose et vous en envoie un morceau, qu’il faut le prendre comme une déclaration de guerre. Du cœur, voilà ce qu’il vous manque, ça et un peu d’esprit enfantin il faut croire. Le seul défi auquel pensait le Coupenotte c’était que vous lui renvoyer le bout de bâton, pas une vulgaire attaque ténébreuse ! D’ailleurs le destin semble être de cet avis, car au moment où votre attaque devait atteindre le petit dragon, une ombre tombe du ciel comme par magie et écarte d’un mouvement de griffe votre petit assaut, en vous ignorant complètement, prenant dans ses bras le petit dragon et disparait tout aussi vite. La morale dans cette histoire ? Ne jamais attaquer en premier, sans être complètement certain que vous n’avez pas le choix. C’est triste, parce que vous aimez ce type de pokemon n’est-ce pas ? Mais il est trop tard pour verser des larmes, car non seulement le dragon n’est plus dans votre ligne de vue, mais en plus de ça…

Dans votre dos cette fois, un agent de l’ordre sous la forme d’un Kadabra se téléporte et frappe sur votre dos pour que vous vous tourniez vers lui et il vous montre un petit bout de papier sur lequel est écrit votre crime, à savoir l’agression d’un petit Coupenotte sans la moindre défense, ce qui vous offre un aller direct pour le centre de rééducation des dresseurs en herbes de Théan Tôle. Charmant programme non ? Et cerise sur la gâteau, vous n’avez pas votre mot à dire. Quoi que vous tentiez, vous êtes – avec votre petit Funecire cela va de soit – envoyer dans la fameuse prison. Oui prison ou centre de rééducation une différence peut-être ? D’autant qu’une fois derrière les barreaux, vous pouvez voir de vous-même que ce qui est une prison aux yeux des pokemons, n’est rien d’autres qu’un ancien bâtiment plutôt imposant, qui a sans doute était abandonné il y a quelques années. D’ailleurs quel genre de bâtiment ? Parce que bon… Ce n’est pas une prison, ça c’est évident… Ce n’est pas davantage un simple immeuble à bureaux… Vous voulez la répons e n’est-ce pas ? Soit, la grille devant vous est ouverte et vous avez trois chemins… Les trois étant des couloirs plus ou moins longs, avec des portes ci et là. Bonne visite.

Les détails de Mamie Saphir

Vous êtes un vilain garçon
Maintenant direction la prison

Votre pokemon :

Level 5 [25/25]
Corps Ardent : Si votre adversaire vous attaque directement, il a 30% de chance d'être brûlé
Flammèche & Onde Follie & Puredpois & Vibrobscur

Vous avez 3 900 points d'expériences.

Invité

La société productive de jeux-vidéos MEGA FAKER a crée un générateur s'inspirant de la vie réelle. Recommencer l'aventure à la manière virtuelle tente énormément Adrian, qui décide par curiosité de participer au programme...

mission méga faker

Adrian n'a pas vraiment le temps de réagir. Certes Funécire à lancé l'attaque vibroscur et il a envoyé une sphère bicolore en direction du pokémon dragon sans prendre le temps de réfléchir – comme à la centrale avant de rencontrer Lightning, ou il avait foncé sans hésiter sur un Pachirisu. C'est sa manière de penser et de vivre, rien d'autre et il n'est sans doute pas près de la changer de sitôt, surtout pas parce qu'un simple jeu vidéo à décidé de le contrarier. Pour expliquer un peu les pensées qui le traversent, il faut préciser que sa pokéball est heurtée par une sorte d'ombre venue du ciel qui embarque le pokémon dragon étrangement vêtu dans ses bras, laissant le dresseur un peu désemparé par la prise des événements, principalement par le fait qu'il a bouffé une pokéball pour rien. Mais quoi qu'il en soit il lui reste quand même deux mille cinq cent pokédollars donc il pouvait probablement se remplir les poches d'hyperball à ce prix la. La suite du programme pourtant attire chez lui une expression amusée lorsqu'un Kadabra lui remet un papier sur lequel il y écrit son forfait et la sentence d'aller dans un centre de rééducation pour dresseur. Genre il est sensé avoir peur alors qu'il est dans un simple jeu vidéo.

« Ouais bon.. »

Il est dans une pièce plutôt étrange, fermée semble t-il par une grille en ferraille qui ne l'effraie pas davantage, surtout lorsqu'il découvre qu'il peut d'un simple mouvement du pied la faire dégager et ainsi sortir de la cellule. Ils sont sérieux dans leur vie les créateurs du programme ? C'est ça leur centre de rééducation, un vieux bâtiment tout pourri qui n'est même pas le quart d'une moitié de prison ? Enfin, tant mieux au final même si le sbire Rocket espère sincèrement que les choses vont se corser à l'avenir parce que là c'est un peu trop simple pour lui. Ne regrettant pas le moins du monde le petit Coupenotte croisé auparavant, il se glisse hors de la cellule sans prendre la peine de refermer la porte derrière lui et observe les alentours. Trois choix s'offrent à lui, sous forme de différents chemins à travers la vieille structure. Hésitant vaguement entre le trio de corridor, Adrian finit par prendre le parti de s'adresser à son pokémon et de l'interroger – après tout, il avait peut être une bonne intuition en tête.

« Quittons les lieux, et le plus rapidement possible.. Tu pencherais pour quelle sortie ? »

Dans un piaillement digne de son espèce, le pokémon en forme de bougie s'incline de manière à ce que sa flamme soit pointée en direction de la sortie bien au milieu avant de se remettre sur l'épaule de son propriétaire virtuel. Une moue désintéressée sur le visage, Adrian se décide donc à suivre le chemin choisi par sa créature en espérant que ce soit le bon. C'est parti pour découvrir la suite des événement qui, le jeune adolescent l'espère, continuera à être intéressante – surtout qu' au final, l'imprévu le tente plutôt bien puisque c'est dans des situations du genre qu'il pourra faire ressortir le potentiel de Blaze.

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Oui partir tout droite est dit comme la plus simple des solutions, pour cela que les véritables aventuriers ne vont jamais dans cette direction, ne voulant pas s’aventurer dans une voie peu compliquée, préférant nettement les prises de risques. Cependant, il semble qu’Adrian ne soit pas de ce genre de personnes… C’est bien dommage d’ailleurs, car le jeu risque d’être un peu trop rose avec le jeune homme et pas rose comme les bouquins qu’il aime lire le soir. Enfin qu’importe, puisque le choix est fait, autant voir ce que vous réserve ce fameux couloir. Il est grand, c’est le premier constat que vous pouvez faire quand vous y pénétré. Il est plus sombre que lumineux. Néanmoins, il y à ci et là quelques ampoules allumées, vous permettant de vous déplacer, sans prendre le risque de vous cogner dans je ne sais quoi. Dans ce genre d’endroit, qui sait sur quoi nous, enfin vous pouvez tomber. Un spectre en folie ? Non, ça c’est trop classique et c’est réserver pour la Tour de Muguetville. Qui sait, peut-être aurez-vous la chance de vous y rendre. Encore que pour ça, il faut déjà sortir d’ici et en vie. C’est toujours mieux non ?

Cependant, environ cinq minutes après que vous ayez pénétré dans ce couloir, une porte sur votre gauche et sans que vous ne puissiez réagir, vous vous retrouver nez à crâne avec un Kranidos. Attention, ce n’est pas qu’un simple Kranidos, mais bel et bien ce que l’on peut appeler un Shiney. Son crâne n’est certainement pas bleu, ça c’est pour les crétins. Lui il est tout rouge tout beau tout…. SANGLANT ! Non je rigole il est juste rouge, mais aucun liquide sanguin. Secouant la tête en vous fixant avec ses gros yeux, ce pokemon qui est un jeune mâle semble réfléchir… Puis vous offre un mignon coup de langue sur la joue droite, avant de faire ce qui semble être un câlin, suivit d’un petit cri. Vous savez quoi ? Vous venez de vous faire un nouvel ami ! Non ce n’est pas une blague. Ni un piège – même si le narrateur en est capable – il est bel et bien à vous ce pokemon. Attention néanmoins, car s’il est très gentil, il est aussi un peu con. Avec un peu de chance, le fait qu’il se trouve sous votre aile maintenant va peut-être lui permettre de se mettre du plomb dans la tête, mais ça, nous ne le verrons que plus tard. N’ayez crainte, vous pouvez reprendre votre chemin. Cinq minutes après, vous vous retrouver pour ne pas changer, devant plusieurs directions. Un escalier vous conduira au second étage comme indiqué par une plaquette. Une grande double porte vers un réfectoire et donc une cuisine. Sinon vous avez encore deux couloirs, un vers la droite et l’autre vers la gauche.

Cependant, avant de prendre votre décision, votre nouveau camarade aperçoit un distributeur de gourmandise et vous agrippe par la manche pour vous tirer jusqu’à cet objet et ensuite vous en écarte un peu, pour pouvoir donner trois coup de boules dessus, sans tout de fois le casser, mais trois objets tombent et glissent à vos pieds. Une bière pour pokemon qui est en réalité une boisson que l’on peut assimiler à du champomy. Une autre boisson sous forme de canette aussi se révèle être de la limonade violette et le dernier, un paquet de sucre de baie Tamato. Maintenant vous pouvez prendre votre direction sans oublier ces items.

Spoiler:

Les détails de Mamie Saphir

Votre équipe :

Mâle
Level 5 [25/25]
Corps Ardent : Si votre adversaire vous attaque directement, il a 30% de chance d'être brûlé
Flammèche & Onde Follie & Puredpois & Vibrobscur

Mâle
Level 10 [50/50]
Brise Moule : Annule certaines capacités spéciales du Pokémon défenseur.
Tête de fer & Poursuite & Puissance & Coup D'boule

Vous avez 4 425 points d'expérience

Invité

La société productive de jeux-vidéos MEGA FAKER a crée un générateur s'inspirant de la vie réelle. Recommencer l'aventure à la manière virtuelle tente énormément Adrian, qui décide par curiosité de participer au programme...

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Bon, le chemin de droit ne semble pas être le plus dérangeant puisque qu'aucun événement désagréable ne se produit les premiers instants, tandis qu'il avance au gré des quelques ampoules pendant par un fil électrique qui bordent le plafond, créant une source de lumière suffisante pour lui permettre d'avancer convenablement. Les mains dans les poches, il sifflote doucement en caressant parfois la peau de cire chaude qui compose Funécire lorsque qu'une porte s'ouvre brutalement sur sa gauche, faisant immédiatement cesser son accès de joie contre un mouvement de recul paniqué. Oh certes il s'est bien douté que quelque chose allait se passer au bout de quelques minutes à errer dans ce corridor, et tant mieux au final parce que le jeu ne peut pas défiler sans aucun instant imprévu comme l'a été celui de la prison pokémon. En attendant, la découverte lui fait relâcher la pression d'un coup et il sourit face à la ce qui se dresse en face de lui. Une bestiole chromatique, ressemblant à un petit dinosaure au crâne et au dos ainsi que ce qui lui sert de queue teinté de rouge au lieu du bleu ordinaire lui saute dessus, le gratifiant d'un affectueux coup de langue qui le fait grimacer de surprise avant de tenter quelque chose qui ressemble à.. un câlin ? Adrian frémit de surprise, peu habitué à ce genre de contact aussi bien virtuellement que dans la vie réelle, mais il ne se débat pas malgré tout. Visiblement, le pokémon préhistorique que l'on ramène à la vie à l'aide d'un fossile crâne s'est improvisé comme son futur compagnon de voyage aux côtés de Blaze. Connaissant un peu sa future évolution et sachant qu'elle peut apprendre des attaques utiles d'autre types que roche, le garçon accepte cette nouvelle rencontre avec un léger sourire amusé, et il observe les chemins qui se dresse face à lui pendant que Kranidos s'approche d'une machine à sucrerie dans laquelle il envoie un bon coup de tête pour en faire sortir des choses diverses. Deux boissons et un sachet de friandises tombent sur le sol, presque aussitôt ramassées par Adrian et envoyées dans son sac de voyage avant qu'il ne se concentre à nouveau sur la suite des événements.

« Tu pense quoi du surnom Badass ? »
« Kra. »
« Je suppose que ça veut dire non.. Kershaw peut être ? »
« Kra. »
« Bowser ? »
« … Kranii ♪ »
« Bon, parfait. Eh bien Blaze, Bowser, nous allons prendre le chemin qui mène aux cuisines.. Qui sait, on trouvera peut être des choses intéressantes. »

Il s'avance en compagnie de ses créatures de voyage et de combat en direction des deux portes à battant qui servent d'entrée face au réfectoire, intrigué à l'idée de ce que peut cacher cet endroit que ce soit en friandises pour pokémon ou en créatures elles même. Il ne va de toute façons pas tarder à le découvrir puisqu'une fois les quelques pas le séparant des lieux effectués, il pousse avec vivacité une des doubles-portes et entre dans l'imposante salle à manger.

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Ah la cuisine c’est un très bon choix vous savez. Il y fait toujours bon vivre, du moins les jours ou le réfectoire est bondé de pokemons en tout genre bien sûr. Cependant aujourd’hui c’est vide. Il faut dire aussi que nous sommes dimanche et que nous sommes en début d’après-midi. Avançant en tête de colonne, votre nouveau compagnon virtuelle vous ouvre les portes d’un bon coup de crâne, envoyant au passage la porte faire un petit vol sur quelques mètres. Pas très solide n’est-ce pas les amis ? En même temps, vu l’état des lieux, il ne faut pas grand-chose pour faire tomber ce genre de choses. Néanmoins, une fois à l’intérieure de cette grande pièce, vous pouvez constater bien vite que tout n’est pas en ruine. Au contraire même. Les grandes tables sont en très bon état, tout comme l’ensemble de cet endroit. Devant vous à environ cinquante mètres une autre double portes, tout comme sur votre gauche d’ailleurs. Vous pouvez voir sur votre porte une plus petite porte, mais également ce que l’on voit dans toute cantine qui se respecte pour la distribution des repas. Personne n’est en ligne de vue, c’est parfait, car Kranidos s’avance joyeusement dans la pièce, renversant quelques chaises avec sa tête rouge.

Cependant, ce n’est pas tout rose et après une sixième chaises au sol, une ombre furtive glisse entre les divers meubles et passe devant vous rapidement pour aller jusqu’à votre pokemon et grimpant sur lui en s’enroulant sur son corps, le capitaine Sévè Reuh le frappe avec une poêle, avant de s’éloigner de quelques mètres. Cette fois pas de coup du destin ni de chance. Pas de fuite possible, ni d’intervention divine. Rien ne va venir interrompre votre combat, mais il ne sera pas si simple de vaincre un chef cuistot, qui vient de voir une partit de son lieu de travail dévaster par la bêtise de votre compagnon. Alors si le narrateur peut se permettre de vous donne un conseil, soit vous courrez rapidement, ce qui se révèlera être une perte de temps plus qu’autre chose, soit vous prenez la décision de combattre et dans ce cas, il faudra choisir entre vos deux champions, car gardons quand même un esprit fair-play cher Adrian.

Les détails de Mamie Saphir

Votre équipe :

Mâle
Level 5 [25/25]
Corps Ardent : Si votre adversaire vous attaque directement, il a 30% de chance d'être brûlé
Flammèche & Onde Follie & Puredpois & Vibrobscur

Mâle
Level 10 [50/50]
Brise Moule : Annule certaines capacités spéciales du Pokémon défenseur.
Tête de fer & Poursuite & Puissance & Coup D'boule

Votre adversaire :

Mâle
Level 10 [40/40]
Mue : A chaque tour, ce Pokémon à 1 chance sur 3 d'être soigné de ses altérations de statut.
Tranche Nuit & Queue poison & Morsure & Léchouille

Vous avez 4 941 points d'expérience

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La salle de réfectoire est entièrement déserte, probablement parce que c'est Dimanche.. à moins que ce ne soit également le cas les autres jours. Baladant son regard ici et la entre les tables et les chaises, Adrian ne peut s'empêcher de constater que les lieux sont nickels comparé à ce qu'il a déjà vu du centre de rééducation pokémonesque. Sifflant légèrement d'admiration, il commence à se balader dans les lieux les main dans les poches, Kranidos marchant toujours devant lui tandis que Blaze à gardé sa place favorite sur son épaule gauche, lui procurant une dose de chaleur au niveau du coup et de la tête qui commence à devenir vaguement désagréable. Bowser semble d'ailleurs s'amuser comme un petit fou, faisant bondir à coup de tête des chaises au sol, même si elle ne se trouvent pas sur son passage. Cela ne semble cependant pas plaire à tout le monde, puisque même si Adrian n'intervient pas plus que Funécire, une ombre se dessine peu de temps après sur les murs, et un Séviper apparaît face au trio. Avant même que le Rocket ai le temps de réagir, le pokémon sauvage étreint Kranidos et le frappe à coup de poêle avant de s'éloigner comme si de rien n'était. Le dresseur observe la créature d'un air surpris – non mais ça va pas de faire des trucs aussi cons – et en constatant qu'elle semble chercher un combat, il regarde ses deux pokémons d'un air distrait avant de constater que Funécire est de toute évidence trop faible pour combattre un rival pareil.. Et de toute façons, comme c'est Kranidos qui a été frappé il a probablement envie de montrer à l'autre de quoi il est capable. Présentant de vagues excuses au pokémon sur son épaule et expliquant sa décision rapidement, Adrian s'adresse ensuite à l'autre pour lui faire commencer le combat.

« A toi Bowser ! Charge le avec tête de fer ! »

Adrian est plutôt du genre sanguin et brutal, à faire foncer ses pokémons dans le tas pour infliger le plus de dégâts possible. Dans le même mouvement impulsif, comme s'il s'est déjà calqué sur l'attitude au combat de son dresseur, le Kranidos fait reluire son crâne d'une couleur métallique avant de bondir vers l'adversaire pour lui infliger un coup bien placé qu'il aura sans doute du mal à esquiver à moins d'être réellement rapide – après tout, le Rocket ne connaît pas tant que cela l'espèce de Seviper et pense plutôt en fonction de sa taille et de son poids. Malgré tout, il est presque sûr qu'a moins qu'une nouvelle vision divine ne se fasse sentir, Bowser va réussir son coup et frapper assez fort.

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